Jazz live
Publié le 29 Nov 2017

Chicago à La Dynamo

Lundi dernier, La Dynamo de Banlieues Bleues recevait des piliers libertaires de la Cité des Vents pour une soirée très revigorante. Sur la scène trônaient deux impressionnants set de batterie !

Première Partie : Le redoutable duo Dave Rempis (saxophone ato et ténor) Frank Rosaly (batterie)

Ces deux bons géants barbus ne font pas dans la dentelle. Dave Rempis ouvre les débats à l’alto et possède d’entrée de jeu un son ample et profond. Il produit des nappes de lave brulante qu’il renouvelle, reprend, dilate, élargie dans un déchaînement d’énergie très free. Frank Rosaly attise le feu par son jeu percussif très spectaculaire. Il cogne, gifle, tapote, caresse peaux et cymbales ainsi que toute une panoplie d’accessoires métalliques (gongs, bols en bronze, assiettes en alu, cloches…..). Il peut aussi  jouer à mains nues ou avec deux baguettes dans une main à la manière des vibraphonistes. Au ténor, Rempis hurle et déclenche des orages tumultueux. Il fait étalage de sa dextérité en jouant en souffle continu. Il sait aussi jouer avec le lyrisme d’un Coleman Hawkins ou encore émettre de discrets murmures. Quelle belle paire de bretteurs convertis à la cause de la free music.

Seconde partie : Mike Reed (batterie) et deux membre de l’ONJ, Sylvain Daniel (basse électrique) et Fabrice Martinez (trompette et bugle).

Mike Reed porte une superbe chemise de bucheron et n’a pas quitté son élégant chapeau gris. Il siège à droite  derrière l’autre batterie. Il peut ainsi poursuivre sa collaboration féconde avec l’Orchestre National de Jazz. Après le chef, Olivier Benoit, c’est autour de Fabrice Martinez et Sylvain Daniel, tout de  noir vêtus. Le drumming impeccable de l’ami chicagoan stimule l’imagination foisonnante de Fabrice Martinez. Disposant d’une belle palanquée de pédales et d’électroniques malines, il balance des riffs incandescents. Ses éclats cuivrés sont stratosphériques. Ils déchirent l’air, se répercutent pendant que la basse rutilante de Sylvain Daniel distille un groove entêtant très efficace. En guise de rappel surprise, nous avons eu droit à un vrai bœuf, quand Rempis et Rosaly sont revenus sur scène pour une improvisation collective fort réjouissante;       Paul Jaillet

Prochain concert à La Dynamo : 30 Years From + Aka Moon le 1 décembre 2017

La collaboration de Mike Reed avec L’ONJ se poursuivra à Cachan, Val de Marne, le 27 janvier 2018 dans le cadre du Festival Sons d’Hiver|Lundi dernier, La Dynamo de Banlieues Bleues recevait des piliers libertaires de la Cité des Vents pour une soirée très revigorante. Sur la scène trônaient deux impressionnants set de batterie !

Première Partie : Le redoutable duo Dave Rempis (saxophone ato et ténor) Frank Rosaly (batterie)

Ces deux bons géants barbus ne font pas dans la dentelle. Dave Rempis ouvre les débats à l’alto et possède d’entrée de jeu un son ample et profond. Il produit des nappes de lave brulante qu’il renouvelle, reprend, dilate, élargie dans un déchaînement d’énergie très free. Frank Rosaly attise le feu par son jeu percussif très spectaculaire. Il cogne, gifle, tapote, caresse peaux et cymbales ainsi que toute une panoplie d’accessoires métalliques (gongs, bols en bronze, assiettes en alu, cloches…..). Il peut aussi  jouer à mains nues ou avec deux baguettes dans une main à la manière des vibraphonistes. Au ténor, Rempis hurle et déclenche des orages tumultueux. Il fait étalage de sa dextérité en jouant en souffle continu. Il sait aussi jouer avec le lyrisme d’un Coleman Hawkins ou encore émettre de discrets murmures. Quelle belle paire de bretteurs convertis à la cause de la free music.

Seconde partie : Mike Reed (batterie) et deux membre de l’ONJ, Sylvain Daniel (basse électrique) et Fabrice Martinez (trompette et bugle).

Mike Reed porte une superbe chemise de bucheron et n’a pas quitté son élégant chapeau gris. Il siège à droite  derrière l’autre batterie. Il peut ainsi poursuivre sa collaboration féconde avec l’Orchestre National de Jazz. Après le chef, Olivier Benoit, c’est autour de Fabrice Martinez et Sylvain Daniel, tout de  noir vêtus. Le drumming impeccable de l’ami chicagoan stimule l’imagination foisonnante de Fabrice Martinez. Disposant d’une belle palanquée de pédales et d’électroniques malines, il balance des riffs incandescents. Ses éclats cuivrés sont stratosphériques. Ils déchirent l’air, se répercutent pendant que la basse rutilante de Sylvain Daniel distille un groove entêtant très efficace. En guise de rappel surprise, nous avons eu droit à un vrai bœuf, quand Rempis et Rosaly sont revenus sur scène pour une improvisation collective fort réjouissante;       Paul Jaillet

Prochain concert à La Dynamo : 30 Years From + Aka Moon le 1 décembre 2017

La collaboration de Mike Reed avec L’ONJ se poursuivra à Cachan, Val de Marne, le 27 janvier 2018 dans le cadre du Festival Sons d’Hiver|Lundi dernier, La Dynamo de Banlieues Bleues recevait des piliers libertaires de la Cité des Vents pour une soirée très revigorante. Sur la scène trônaient deux impressionnants set de batterie !

Première Partie : Le redoutable duo Dave Rempis (saxophone ato et ténor) Frank Rosaly (batterie)

Ces deux bons géants barbus ne font pas dans la dentelle. Dave Rempis ouvre les débats à l’alto et possède d’entrée de jeu un son ample et profond. Il produit des nappes de lave brulante qu’il renouvelle, reprend, dilate, élargie dans un déchaînement d’énergie très free. Frank Rosaly attise le feu par son jeu percussif très spectaculaire. Il cogne, gifle, tapote, caresse peaux et cymbales ainsi que toute une panoplie d’accessoires métalliques (gongs, bols en bronze, assiettes en alu, cloches…..). Il peut aussi  jouer à mains nues ou avec deux baguettes dans une main à la manière des vibraphonistes. Au ténor, Rempis hurle et déclenche des orages tumultueux. Il fait étalage de sa dextérité en jouant en souffle continu. Il sait aussi jouer avec le lyrisme d’un Coleman Hawkins ou encore émettre de discrets murmures. Quelle belle paire de bretteurs convertis à la cause de la free music.

Seconde partie : Mike Reed (batterie) et deux membre de l’ONJ, Sylvain Daniel (basse électrique) et Fabrice Martinez (trompette et bugle).

Mike Reed porte une superbe chemise de bucheron et n’a pas quitté son élégant chapeau gris. Il siège à droite  derrière l’autre batterie. Il peut ainsi poursuivre sa collaboration féconde avec l’Orchestre National de Jazz. Après le chef, Olivier Benoit, c’est autour de Fabrice Martinez et Sylvain Daniel, tout de  noir vêtus. Le drumming impeccable de l’ami chicagoan stimule l’imagination foisonnante de Fabrice Martinez. Disposant d’une belle palanquée de pédales et d’électroniques malines, il balance des riffs incandescents. Ses éclats cuivrés sont stratosphériques. Ils déchirent l’air, se répercutent pendant que la basse rutilante de Sylvain Daniel distille un groove entêtant très efficace. En guise de rappel surprise, nous avons eu droit à un vrai bœuf, quand Rempis et Rosaly sont revenus sur scène pour une improvisation collective fort réjouissante;       Paul Jaillet

Prochain concert à La Dynamo : 30 Years From + Aka Moon le 1 décembre 2017

La collaboration de Mike Reed avec L’ONJ se poursuivra à Cachan, Val de Marne, le 27 janvier 2018 dans le cadre du Festival Sons d’Hiver|Lundi dernier, La Dynamo de Banlieues Bleues recevait des piliers libertaires de la Cité des Vents pour une soirée très revigorante. Sur la scène trônaient deux impressionnants set de batterie !

Première Partie : Le redoutable duo Dave Rempis (saxophone ato et ténor) Frank Rosaly (batterie)

Ces deux bons géants barbus ne font pas dans la dentelle. Dave Rempis ouvre les débats à l’alto et possède d’entrée de jeu un son ample et profond. Il produit des nappes de lave brulante qu’il renouvelle, reprend, dilate, élargie dans un déchaînement d’énergie très free. Frank Rosaly attise le feu par son jeu percussif très spectaculaire. Il cogne, gifle, tapote, caresse peaux et cymbales ainsi que toute une panoplie d’accessoires métalliques (gongs, bols en bronze, assiettes en alu, cloches…..). Il peut aussi  jouer à mains nues ou avec deux baguettes dans une main à la manière des vibraphonistes. Au ténor, Rempis hurle et déclenche des orages tumultueux. Il fait étalage de sa dextérité en jouant en souffle continu. Il sait aussi jouer avec le lyrisme d’un Coleman Hawkins ou encore émettre de discrets murmures. Quelle belle paire de bretteurs convertis à la cause de la free music.

Seconde partie : Mike Reed (batterie) et deux membre de l’ONJ, Sylvain Daniel (basse électrique) et Fabrice Martinez (trompette et bugle).

Mike Reed porte une superbe chemise de bucheron et n’a pas quitté son élégant chapeau gris. Il siège à droite  derrière l’autre batterie. Il peut ainsi poursuivre sa collaboration féconde avec l’Orchestre National de Jazz. Après le chef, Olivier Benoit, c’est autour de Fabrice Martinez et Sylvain Daniel, tout de  noir vêtus. Le drumming impeccable de l’ami chicagoan stimule l’imagination foisonnante de Fabrice Martinez. Disposant d’une belle palanquée de pédales et d’électroniques malines, il balance des riffs incandescents. Ses éclats cuivrés sont stratosphériques. Ils déchirent l’air, se répercutent pendant que la basse rutilante de Sylvain Daniel distille un groove entêtant très efficace. En guise de rappel surprise, nous avons eu droit à un vrai bœuf, quand Rempis et Rosaly sont revenus sur scène pour une improvisation collective fort réjouissante;       Paul Jaillet

Prochain concert à La Dynamo : 30 Years From + Aka Moon le 1 décembre 2017

La collaboration de Mike Reed avec L’ONJ se poursuivra à Cachan, Val de Marne, le 27 janvier 2018 dans le cadre du Festival Sons d’Hiver