Jazz live
Publié le 13 Sep 2016

Oddjob au Duc des Lombards

Oddjob new picture ©Klara GLe groupe Oddjob est un groupe de jazz les plus reconnus de Suède où il a obtenu un grand nombre de récompenses. Il était Samedi soir au Duc des Lombards pour faire connaître sa musique au public parisien.

Daniel Karlsson (p), Peter Forss (b), janne Robertson (dm), Per « Ruskträsk » Johansson (as, bcl), Goran Kajfes (tp), Duc des Lombards, 10 septembre 2016

La musique jouée ce soir provient de leur album Folk, qui brode autour de musiques folkloriques suédoises enregistrées dans les années 60. Plus exactement, il s’agit de musiques pastorales, et la nuance n’est pas inintéressante car on entend dans plusieurs de ces morceaux des séquences musicales qui ressemblent à des appels (appels du troupeau, appel de berger à berger, ou à bergère, on peut rêver…).
C’est une musique contemplative, lyrique, mais absolument pas éthérée, qui sait basculer aussi dans un déchaînement dyonisiaque. Elle est servie par d’épatants musiciens, le contrebassiste Peter Forss, que dire de lui sinon que c’est un chêne, le saxophoniste Per Johansson, qui se fait remarquer par sa manière d’évoluer insensiblement vers la transe. Quant au trompettiste Goran Kajfes il a mis tout le monde d’accord (et par terre). Il réconcilie dans son jeu des élément qu’il est rare de trouver chez le même musicien: il est puissant,voire agressif, et pourtant toujours très mélodique. A la fin du concert, il montre qu’il sait s’exprimer magnifiquement sur le blues. Une révélation.

JF Mondot|Oddjob new picture ©Klara GLe groupe Oddjob est un groupe de jazz les plus reconnus de Suède où il a obtenu un grand nombre de récompenses. Il était Samedi soir au Duc des Lombards pour faire connaître sa musique au public parisien.

Daniel Karlsson (p), Peter Forss (b), janne Robertson (dm), Per « Ruskträsk » Johansson (as, bcl), Goran Kajfes (tp), Duc des Lombards, 10 septembre 2016

La musique jouée ce soir provient de leur album Folk, qui brode autour de musiques folkloriques suédoises enregistrées dans les années 60. Plus exactement, il s’agit de musiques pastorales, et la nuance n’est pas inintéressante car on entend dans plusieurs de ces morceaux des séquences musicales qui ressemblent à des appels (appels du troupeau, appel de berger à berger, ou à bergère, on peut rêver…).
C’est une musique contemplative, lyrique, mais absolument pas éthérée, qui sait basculer aussi dans un déchaînement dyonisiaque. Elle est servie par d’épatants musiciens, le contrebassiste Peter Forss, que dire de lui sinon que c’est un chêne, le saxophoniste Per Johansson, qui se fait remarquer par sa manière d’évoluer insensiblement vers la transe. Quant au trompettiste Goran Kajfes il a mis tout le monde d’accord (et par terre). Il réconcilie dans son jeu des élément qu’il est rare de trouver chez le même musicien: il est puissant,voire agressif, et pourtant toujours très mélodique. A la fin du concert, il montre qu’il sait s’exprimer magnifiquement sur le blues. Une révélation.

JF Mondot|Oddjob new picture ©Klara GLe groupe Oddjob est un groupe de jazz les plus reconnus de Suède où il a obtenu un grand nombre de récompenses. Il était Samedi soir au Duc des Lombards pour faire connaître sa musique au public parisien.

Daniel Karlsson (p), Peter Forss (b), janne Robertson (dm), Per « Ruskträsk » Johansson (as, bcl), Goran Kajfes (tp), Duc des Lombards, 10 septembre 2016

La musique jouée ce soir provient de leur album Folk, qui brode autour de musiques folkloriques suédoises enregistrées dans les années 60. Plus exactement, il s’agit de musiques pastorales, et la nuance n’est pas inintéressante car on entend dans plusieurs de ces morceaux des séquences musicales qui ressemblent à des appels (appels du troupeau, appel de berger à berger, ou à bergère, on peut rêver…).
C’est une musique contemplative, lyrique, mais absolument pas éthérée, qui sait basculer aussi dans un déchaînement dyonisiaque. Elle est servie par d’épatants musiciens, le contrebassiste Peter Forss, que dire de lui sinon que c’est un chêne, le saxophoniste Per Johansson, qui se fait remarquer par sa manière d’évoluer insensiblement vers la transe. Quant au trompettiste Goran Kajfes il a mis tout le monde d’accord (et par terre). Il réconcilie dans son jeu des élément qu’il est rare de trouver chez le même musicien: il est puissant,voire agressif, et pourtant toujours très mélodique. A la fin du concert, il montre qu’il sait s’exprimer magnifiquement sur le blues. Une révélation.

JF Mondot|Oddjob new picture ©Klara GLe groupe Oddjob est un groupe de jazz les plus reconnus de Suède où il a obtenu un grand nombre de récompenses. Il était Samedi soir au Duc des Lombards pour faire connaître sa musique au public parisien.

Daniel Karlsson (p), Peter Forss (b), janne Robertson (dm), Per « Ruskträsk » Johansson (as, bcl), Goran Kajfes (tp), Duc des Lombards, 10 septembre 2016

La musique jouée ce soir provient de leur album Folk, qui brode autour de musiques folkloriques suédoises enregistrées dans les années 60. Plus exactement, il s’agit de musiques pastorales, et la nuance n’est pas inintéressante car on entend dans plusieurs de ces morceaux des séquences musicales qui ressemblent à des appels (appels du troupeau, appel de berger à berger, ou à bergère, on peut rêver…).
C’est une musique contemplative, lyrique, mais absolument pas éthérée, qui sait basculer aussi dans un déchaînement dyonisiaque. Elle est servie par d’épatants musiciens, le contrebassiste Peter Forss, que dire de lui sinon que c’est un chêne, le saxophoniste Per Johansson, qui se fait remarquer par sa manière d’évoluer insensiblement vers la transe. Quant au trompettiste Goran Kajfes il a mis tout le monde d’accord (et par terre). Il réconcilie dans son jeu des élément qu’il est rare de trouver chez le même musicien: il est puissant,voire agressif, et pourtant toujours très mélodique. A la fin du concert, il montre qu’il sait s’exprimer magnifiquement sur le blues. Une révélation.

JF Mondot