Jazz live
Publié le 2 Oct 2012

André Minvielle répond

Suite au compte rendu du concert La Fête à Boby le 23 septembre à Jazz aux Écluses, Jean-Marie Machado et André Minvielle se sont indignés. Franck Bergerot l’auteur de ce texte a entendu leurs arguments.

 

Il n’est pas dans la coutume de la presse de donner droit de réponse à ses critiques, tout simplement parce que l’on n’en finirait pas, l’artiste étant porté à penser que toute réserve concernant son art est infondée et le débat tournant souvent au dialogue de sourds. Dans le cas du concert de La Fête à Boby, une partie de ma critique était liée à la difficulté d’existence des grands ensembles et des projets ambitieux dans le domaine du jazz, domaine qui n’a pas le soutien dont peuvent bénéficier compagnies de danse ou de théâtre en matière de rodage, d’équipement et de stabilité des effectifs. Une interview de Jean-Marie Machado étant dans les projets de la rédaction, je débattrai de ces points avec lui dans notre numéro de décembre à la veille d’une offensive, autour d’un grand projet de l’association Grands formats qui fera sa « Rentrée » le 1er décembre sous la forme d’une journée professionnelle au Centre culturel des bords de Marne du Perreux suivie d’un concert des Voice Messengers et du groupe Le Bocal. L’autre partie de ma critique portait sur le fait qu’André Minvielle chante “à vue” les textes de Bobby Lapointe. Comme c’est un patri pris délibéré, passée la facilité de sa citation initiale à laquelle nous sommes accoutumés et que pourraient tout aussi bien s’approprier les politiciens face à leur opposition, sa réaction méritait d’être entendue.  Franck Bergerot

 

La critique est aisée et l’art est difficile. (Destouches)
C’est la première pensée qui m’est venu à l’esprit en lisant le compte rendu de
Franck Bergerot pour Jazz aux écluses…
Rectification immédiate : je ne joue pas le rôle de Boby Lapointe, il y faudrait un
acteur, je suis voc’alchimiste. Donc, au plus proche de la musique et des musiciens.
Boby Lapointe fut le premier chanteur sous-titré (tiens, tiens, tiens !). François
Truffaut pour son film « Tirez sur le pianiste » où Boby apparaît fou chantant
(Aznavour est au piano !), François Truffaut, donc, décide de sous-titrer la chanson
Avanie et Framboise pour que le public puisse comprendre le texte.
Autre époque, autre moeurs : un soir de fête à Boby, il y eut une rencontre avec le
public après le concert et quelqu’un se plaignit de ne pas entendre correctement
toutes les paroles. Une vieille dame au premier rang, avec les yeux pleins d’étoiles a
dit ceci : « Mais moi, j’ai vu et entendu Boby Lapointe à l’époque, à Paris. On nous
distribuait un livret à l’entrée pour pouvoir suivre. On ne comprenait pas tout de ce
qui se chantait là ! ».
Depuis le début de cette aventure, avec l’orchestre Danzas, j’ai accepté la
proposition de Jean Marie Machado d’un hommage à Boby, à la condition que je
puisse lire les textes, parce que jouer le corps de Boby (saccades, soubresauts,
débordements rythmiques, mimiques), bonjour le boulot ! Il est unique.
Et moi donc : « Mr Minvielle, comment on fait pour gagner sa vie avec des chansons
qu’on comprend pas ? ». C’est la première question que me posèrent un groupe
d’enfants lors d’une invitation de David Jisse dans son émission sur France culture. Il
y a quelques années déjà. 10 ans, 15, je ne sais plus, je continue….
Franck, je vous connais depuis Paris Musette, vous savez mon art de l’échappée
belle, jamais je ne me défile. Genre « il se la joue facile.. ». Ce que vous avez écouté
l’autre soir est la résultante d’une quinzaine de lectures en concert « La fête à
Boby », y compris l’enregistrement en studio de treize titres en trois jours (que vous
avez fort apprécié me suis-je laissé dire). Je fais strictement la même chose sur
scène avec les variations du moment (balance difficile, résonnance du lieu, exiguïté,
etc..). Je m’applique donc à « articoller » ma voix avec l’écriture de Boby. C’est
pourquoi, j’ai pu dire « Dédé est à la base ce que Boby est à la pointe ».
C’est ma feinte à Boby, c’est aussi mon respect. Pour l’auteur et sa vie ahurissante.
Non, Franck, honnêtement, c’est plutôt votre place excentrée et la galette saucisse
qui vous ont joué quelques tours de digestion. Parce que le public, lui, à voir les
visages devant la scène et les commentaires d’après match… (Hélène Nougaro,
entre autres, est venu me saluer, tout en sourire et « complimentation »…) Non, je
pense que vous n’avez pas entendu la même chose. Pas grave, mais faut pas tout
démolir non plus d’un travail de trois ans sur une prestation solidaire et militante.
A bon en temps dur, salut. Comprenne qui peut !
André Minvielle

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Suite au compte rendu du concert La Fête à Boby le 23 septembre à Jazz aux Écluses, Jean-Marie Machado et André Minvielle se sont indignés. Franck Bergerot l’auteur de ce texte a entendu leurs arguments.

 

Il n’est pas dans la coutume de la presse de donner droit de réponse à ses critiques, tout simplement parce que l’on n’en finirait pas, l’artiste étant porté à penser que toute réserve concernant son art est infondée et le débat tournant souvent au dialogue de sourds. Dans le cas du concert de La Fête à Boby, une partie de ma critique était liée à la difficulté d’existence des grands ensembles et des projets ambitieux dans le domaine du jazz, domaine qui n’a pas le soutien dont peuvent bénéficier compagnies de danse ou de théâtre en matière de rodage, d’équipement et de stabilité des effectifs. Une interview de Jean-Marie Machado étant dans les projets de la rédaction, je débattrai de ces points avec lui dans notre numéro de décembre à la veille d’une offensive, autour d’un grand projet de l’association Grands formats qui fera sa « Rentrée » le 1er décembre sous la forme d’une journée professionnelle au Centre culturel des bords de Marne du Perreux suivie d’un concert des Voice Messengers et du groupe Le Bocal. L’autre partie de ma critique portait sur le fait qu’André Minvielle chante “à vue” les textes de Bobby Lapointe. Comme c’est un patri pris délibéré, passée la facilité de sa citation initiale à laquelle nous sommes accoutumés et que pourraient tout aussi bien s’approprier les politiciens face à leur opposition, sa réaction méritait d’être entendue.  Franck Bergerot

 

La critique est aisée et l’art est difficile. (Destouches)
C’est la première pensée qui m’est venu à l’esprit en lisant le compte rendu de
Franck Bergerot pour Jazz aux écluses…
Rectification immédiate : je ne joue pas le rôle de Boby Lapointe, il y faudrait un
acteur, je suis voc’alchimiste. Donc, au plus proche de la musique et des musiciens.
Boby Lapointe fut le premier chanteur sous-titré (tiens, tiens, tiens !). François
Truffaut pour son film « Tirez sur le pianiste » où Boby apparaît fou chantant
(Aznavour est au piano !), François Truffaut, donc, décide de sous-titrer la chanson
Avanie et Framboise pour que le public puisse comprendre le texte.
Autre époque, autre moeurs : un soir de fête à Boby, il y eut une rencontre avec le
public après le concert et quelqu’un se plaignit de ne pas entendre correctement
toutes les paroles. Une vieille dame au premier rang, avec les yeux pleins d’étoiles a
dit ceci : « Mais moi, j’ai vu et entendu Boby Lapointe à l’époque, à Paris. On nous
distribuait un livret à l’entrée pour pouvoir suivre. On ne comprenait pas tout de ce
qui se chantait là ! ».
Depuis le début de cette aventure, avec l’orchestre Danzas, j’ai accepté la
proposition de Jean Marie Machado d’un hommage à Boby, à la condition que je
puisse lire les textes, parce que jouer le corps de Boby (saccades, soubresauts,
débordements rythmiques, mimiques), bonjour le boulot ! Il est unique.
Et moi donc : « Mr Minvielle, comment on fait pour gagner sa vie avec des chansons
qu’on comprend pas ? ». C’est la première question que me posèrent un groupe
d’enfants lors d’une invitation de David Jisse dans son émission sur France culture. Il
y a quelques années déjà. 10 ans, 15, je ne sais plus, je continue….
Franck, je vous connais depuis Paris Musette, vous savez mon art de l’échappée
belle, jamais je ne me défile. Genre « il se la joue facile.. ». Ce que vous avez écouté
l’autre soir est la résultante d’une quinzaine de lectures en concert « La fête à
Boby », y compris l’enregistrement en studio de treize titres en trois jours (que vous
avez fort apprécié me suis-je laissé dire). Je fais strictement la même chose sur
scène avec les variations du moment (balance difficile, résonnance du lieu, exiguïté,
etc..). Je m’applique donc à « articoller » ma voix avec l’écriture de Boby. C’est
pourquoi, j’ai pu dire « Dédé est à la base ce que Boby est à la pointe ».
C’est ma feinte à Boby, c’est aussi mon respect. Pour l’auteur et sa vie ahurissante.
Non, Franck, honnêtement, c’est plutôt votre place excentrée et la galette saucisse
qui vous ont joué quelques tours de digestion. Parce que le public, lui, à voir les
visages devant la scène et les commentaires d’après match… (Hélène Nougaro,
entre autres, est venu me saluer, tout en sourire et « complimentation »…) Non, je
pense que vous n’avez pas entendu la même chose. Pas grave, mais faut pas tout
démolir non plus d’un travail de trois ans sur une prestation solidaire et militante.
A bon en temps dur, salut. Comprenne qui peut !
André Minvielle

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Suite au compte rendu du concert La Fête à Boby le 23 septembre à Jazz aux Écluses, Jean-Marie Machado et André Minvielle se sont indignés. Franck Bergerot l’auteur de ce texte a entendu leurs arguments.

 

Il n’est pas dans la coutume de la presse de donner droit de réponse à ses critiques, tout simplement parce que l’on n’en finirait pas, l’artiste étant porté à penser que toute réserve concernant son art est infondée et le débat tournant souvent au dialogue de sourds. Dans le cas du concert de La Fête à Boby, une partie de ma critique était liée à la difficulté d’existence des grands ensembles et des projets ambitieux dans le domaine du jazz, domaine qui n’a pas le soutien dont peuvent bénéficier compagnies de danse ou de théâtre en matière de rodage, d’équipement et de stabilité des effectifs. Une interview de Jean-Marie Machado étant dans les projets de la rédaction, je débattrai de ces points avec lui dans notre numéro de décembre à la veille d’une offensive, autour d’un grand projet de l’association Grands formats qui fera sa « Rentrée » le 1er décembre sous la forme d’une journée professionnelle au Centre culturel des bords de Marne du Perreux suivie d’un concert des Voice Messengers et du groupe Le Bocal. L’autre partie de ma critique portait sur le fait qu’André Minvielle chante “à vue” les textes de Bobby Lapointe. Comme c’est un patri pris délibéré, passée la facilité de sa citation initiale à laquelle nous sommes accoutumés et que pourraient tout aussi bien s’approprier les politiciens face à leur opposition, sa réaction méritait d’être entendue.  Franck Bergerot

 

La critique est aisée et l’art est difficile. (Destouches)
C’est la première pensée qui m’est venu à l’esprit en lisant le compte rendu de
Franck Bergerot pour Jazz aux écluses…
Rectification immédiate : je ne joue pas le rôle de Boby Lapointe, il y faudrait un
acteur, je suis voc’alchimiste. Donc, au plus proche de la musique et des musiciens.
Boby Lapointe fut le premier chanteur sous-titré (tiens, tiens, tiens !). François
Truffaut pour son film « Tirez sur le pianiste » où Boby apparaît fou chantant
(Aznavour est au piano !), François Truffaut, donc, décide de sous-titrer la chanson
Avanie et Framboise pour que le public puisse comprendre le texte.
Autre époque, autre moeurs : un soir de fête à Boby, il y eut une rencontre avec le
public après le concert et quelqu’un se plaignit de ne pas entendre correctement
toutes les paroles. Une vieille dame au premier rang, avec les yeux pleins d’étoiles a
dit ceci : « Mais moi, j’ai vu et entendu Boby Lapointe à l’époque, à Paris. On nous
distribuait un livret à l’entrée pour pouvoir suivre. On ne comprenait pas tout de ce
qui se chantait là ! ».
Depuis le début de cette aventure, avec l’orchestre Danzas, j’ai accepté la
proposition de Jean Marie Machado d’un hommage à Boby, à la condition que je
puisse lire les textes, parce que jouer le corps de Boby (saccades, soubresauts,
débordements rythmiques, mimiques), bonjour le boulot ! Il est unique.
Et moi donc : « Mr Minvielle, comment on fait pour gagner sa vie avec des chansons
qu’on comprend pas ? ». C’est la première question que me posèrent un groupe
d’enfants lors d’une invitation de David Jisse dans son émission sur France culture. Il
y a quelques années déjà. 10 ans, 15, je ne sais plus, je continue….
Franck, je vous connais depuis Paris Musette, vous savez mon art de l’échappée
belle, jamais je ne me défile. Genre « il se la joue facile.. ». Ce que vous avez écouté
l’autre soir est la résultante d’une quinzaine de lectures en concert « La fête à
Boby », y compris l’enregistrement en studio de treize titres en trois jours (que vous
avez fort apprécié me suis-je laissé dire). Je fais strictement la même chose sur
scène avec les variations du moment (balance difficile, résonnance du lieu, exiguïté,
etc..). Je m’applique donc à « articoller » ma voix avec l’écriture de Boby. C’est
pourquoi, j’ai pu dire « Dédé est à la base ce que Boby est à la pointe ».
C’est ma feinte à Boby, c’est aussi mon respect. Pour l’auteur et sa vie ahurissante.
Non, Franck, honnêtement, c’est plutôt votre place excentrée et la galette saucisse
qui vous ont joué quelques tours de digestion. Parce que le public, lui, à voir les
visages devant la scène et les commentaires d’après match… (Hélène Nougaro,
entre autres, est venu me saluer, tout en sourire et « complimentation »…) Non, je
pense que vous n’avez pas entendu la même chose. Pas grave, mais faut pas tout
démolir non plus d’un travail de trois ans sur une prestation solidaire et militante.
A bon en temps dur, salut. Comprenne qui peut !
André Minvielle

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Suite au compte rendu du concert La Fête à Boby le 23 septembre à Jazz aux Écluses, Jean-Marie Machado et André Minvielle se sont indignés. Franck Bergerot l’auteur de ce texte a entendu leurs arguments.

 

Il n’est pas dans la coutume de la presse de donner droit de réponse à ses critiques, tout simplement parce que l’on n’en finirait pas, l’artiste étant porté à penser que toute réserve concernant son art est infondée et le débat tournant souvent au dialogue de sourds. Dans le cas du concert de La Fête à Boby, une partie de ma critique était liée à la difficulté d’existence des grands ensembles et des projets ambitieux dans le domaine du jazz, domaine qui n’a pas le soutien dont peuvent bénéficier compagnies de danse ou de théâtre en matière de rodage, d’équipement et de stabilité des effectifs. Une interview de Jean-Marie Machado étant dans les projets de la rédaction, je débattrai de ces points avec lui dans notre numéro de décembre à la veille d’une offensive, autour d’un grand projet de l’association Grands formats qui fera sa « Rentrée » le 1er décembre sous la forme d’une journée professionnelle au Centre culturel des bords de Marne du Perreux suivie d’un concert des Voice Messengers et du groupe Le Bocal. L’autre partie de ma critique portait sur le fait qu’André Minvielle chante “à vue” les textes de Bobby Lapointe. Comme c’est un patri pris délibéré, passée la facilité de sa citation initiale à laquelle nous sommes accoutumés et que pourraient tout aussi bien s’approprier les politiciens face à leur opposition, sa réaction méritait d’être entendue.  Franck Bergerot

 

La critique est aisée et l’art est difficile. (Destouches)
C’est la première pensée qui m’est venu à l’esprit en lisant le compte rendu de
Franck Bergerot pour Jazz aux écluses…
Rectification immédiate : je ne joue pas le rôle de Boby Lapointe, il y faudrait un
acteur, je suis voc’alchimiste. Donc, au plus proche de la musique et des musiciens.
Boby Lapointe fut le premier chanteur sous-titré (tiens, tiens, tiens !). François
Truffaut pour son film « Tirez sur le pianiste » où Boby apparaît fou chantant
(Aznavour est au piano !), François Truffaut, donc, décide de sous-titrer la chanson
Avanie et Framboise pour que le public puisse comprendre le texte.
Autre époque, autre moeurs : un soir de fête à Boby, il y eut une rencontre avec le
public après le concert et quelqu’un se plaignit de ne pas entendre correctement
toutes les paroles. Une vieille dame au premier rang, avec les yeux pleins d’étoiles a
dit ceci : « Mais moi, j’ai vu et entendu Boby Lapointe à l’époque, à Paris. On nous
distribuait un livret à l’entrée pour pouvoir suivre. On ne comprenait pas tout de ce
qui se chantait là ! ».
Depuis le début de cette aventure, avec l’orchestre Danzas, j’ai accepté la
proposition de Jean Marie Machado d’un hommage à Boby, à la condition que je
puisse lire les textes, parce que jouer le corps de Boby (saccades, soubresauts,
débordements rythmiques, mimiques), bonjour le boulot ! Il est unique.
Et moi donc : « Mr Minvielle, comment on fait pour gagner sa vie avec des chansons
qu’on comprend pas ? ». C’est la première question que me posèrent un groupe
d’enfants lors d’une invitation de David Jisse dans son émission sur France culture. Il
y a quelques années déjà. 10 ans, 15, je ne sais plus, je continue….
Franck, je vous connais depuis Paris Musette, vous savez mon art de l’échappée
belle, jamais je ne me défile. Genre « il se la joue facile.. ». Ce que vous avez écouté
l’autre soir est la résultante d’une quinzaine de lectures en concert « La fête à
Boby », y compris l’enregistrement en studio de treize titres en trois jours (que vous
avez fort apprécié me suis-je laissé dire). Je fais strictement la même chose sur
scène avec les variations du moment (balance difficile, résonnance du lieu, exiguïté,
etc..). Je m’applique donc à « articoller » ma voix avec l’écriture de Boby. C’est
pourquoi, j’ai pu dire « Dédé est à la base ce que Boby est à la pointe ».
C’est ma feinte à Boby, c’est aussi mon respect. Pour l’auteur et sa vie ahurissante.
Non, Franck, honnêtement, c’est plutôt votre place excentrée et la galette saucisse
qui vous ont joué quelques tours de digestion. Parce que le public, lui, à voir les
visages devant la scène et les commentaires d’après match… (Hélène Nougaro,
entre autres, est venu me saluer, tout en sourire et « complimentation »…) Non, je
pense que vous n’avez pas entendu la même chose. Pas grave, mais faut pas tout
démolir non plus d’un travail de trois ans sur une prestation solidaire et militante.
A bon en temps dur, salut. Comprenne qui peut !
André Minvielle