Jazzèbre à Perpignan : ce soir, Eve Risser solo, Joachim Kühn trio et autres aventures musicales !!!
Cliquez « lire la suite » pour vous donner envie de vous rendre à 18.30 au théâtre de Perpignan ! Vous y avez rendez-vous avec Eve Risser (p), pour un solo, puis à 20.30 deux concerts, le premier sous le nom de Saiyuki fera entendre Nguyên Lé (g), Mieko Miyasaki (koto, voc) et Prabhu Edouard (tablas, perc, voc), et le second Joachim Kühn (p, as), Christian Lillinger (dm) et Sébastien Boisseau (b). Un des plus importants pianistes de l’histoire du jazz, rien moins que.
Sinon il m’est arrivé plein d’aventures formidables à Perpignan, aventures musicales et culinaro-musicales, je vous raconte ça dès que possible. Mais comme j’avais écrit tout ça il y a une heure, et que tout s’est effacé au dernier moment, je mets ces deux photos en ligne (prises hier après-midi) et on verra pour la suite.
Juste en deux mots : un restaurant en terrasse dans la vieille ville (« La Baratine »), on mange sur des sets de table constitués par des vinyles de musique classique (opéra), et bien sûr je demande au patron s’il ne lui en reste pas quelques uns encore pas trop tachés par les éclaboussures de gaspacho. « Mais oui, me dit-il, servez-vous, je vous les fait à deux euros pièce ». J’en prends six, et un repas complet à 11.50 (entrée + plat). Bon moment, belle rencontre, ceux qui connaissent ma passion pour les vinyles de musique classique apprécieront.
Ce n’est pas tout dans le genre. Le monument érigé en l’honneur de Pablo Casals est surmontée d’une statue représentant une jeune femme nue, et à quelques mètres de là une autre sculpture est dite « de la femme sans bras ». Difficile pour elle de jouer du violoncelle.
Monument en l’honneur de Pau Casals
Perpignan est une ville formidable ! Jamais à Bordeaux (pourtant on y trouve un conservatoire appelé Jacques Thibaud, soit l’autre tiers du fameux trio Cortot/Thibaud/Casals, reste à trouver la ville d’Alfred Cortot et le tour est joué !), donc jamais à Bordeaux il me serait possible de trouver des vinyles d’opéra sur des tables de restaurant… Et encore moins Joachim Kühn en train de répéter au théâtre municipal. Et Eve Risser, quelle idée !!! Non seulement à Perpignan la gare est le centre du monde, mais tout le reste à l’avenant. Le vieux quartier, ses petites places ombragées, le 17 et ses spécialités de poisson (aile de raie, vous connaissez beaucoup d’endroits où l’on vous propose encore des ailes de raie ?), et pour finir ce disquaire situé je ne sais plus où, un peu au dessus du théâtre, sur une petite place, dans un désordre total j’y ai trouvé un Riverside original de Wes Montgomery, celui où figure « ‘Round Midnight« , avec Mel Rhyne à l’orgue. Deux euros. D’accord, la pochette était un peu fatiguée. Mais le disque était parfait.
A suivre…
Philippe Méziat
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Cliquez « lire la suite » pour vous donner envie de vous rendre à 18.30 au théâtre de Perpignan ! Vous y avez rendez-vous avec Eve Risser (p), pour un solo, puis à 20.30 deux concerts, le premier sous le nom de Saiyuki fera entendre Nguyên Lé (g), Mieko Miyasaki (koto, voc) et Prabhu Edouard (tablas, perc, voc), et le second Joachim Kühn (p, as), Christian Lillinger (dm) et Sébastien Boisseau (b). Un des plus importants pianistes de l’histoire du jazz, rien moins que.
Sinon il m’est arrivé plein d’aventures formidables à Perpignan, aventures musicales et culinaro-musicales, je vous raconte ça dès que possible. Mais comme j’avais écrit tout ça il y a une heure, et que tout s’est effacé au dernier moment, je mets ces deux photos en ligne (prises hier après-midi) et on verra pour la suite.
Juste en deux mots : un restaurant en terrasse dans la vieille ville (« La Baratine »), on mange sur des sets de table constitués par des vinyles de musique classique (opéra), et bien sûr je demande au patron s’il ne lui en reste pas quelques uns encore pas trop tachés par les éclaboussures de gaspacho. « Mais oui, me dit-il, servez-vous, je vous les fait à deux euros pièce ». J’en prends six, et un repas complet à 11.50 (entrée + plat). Bon moment, belle rencontre, ceux qui connaissent ma passion pour les vinyles de musique classique apprécieront.
Ce n’est pas tout dans le genre. Le monument érigé en l’honneur de Pablo Casals est surmontée d’une statue représentant une jeune femme nue, et à quelques mètres de là une autre sculpture est dite « de la femme sans bras ». Difficile pour elle de jouer du violoncelle.
Monument en l’honneur de Pau Casals
Perpignan est une ville formidable ! Jamais à Bordeaux (pourtant on y trouve un conservatoire appelé Jacques Thibaud, soit l’autre tiers du fameux trio Cortot/Thibaud/Casals, reste à trouver la ville d’Alfred Cortot et le tour est joué !), donc jamais à Bordeaux il me serait possible de trouver des vinyles d’opéra sur des tables de restaurant… Et encore moins Joachim Kühn en train de répéter au théâtre municipal. Et Eve Risser, quelle idée !!! Non seulement à Perpignan la gare est le centre du monde, mais tout le reste à l’avenant. Le vieux quartier, ses petites places ombragées, le 17 et ses spécialités de poisson (aile de raie, vous connaissez beaucoup d’endroits où l’on vous propose encore des ailes de raie ?), et pour finir ce disquaire situé je ne sais plus où, un peu au dessus du théâtre, sur une petite place, dans un désordre total j’y ai trouvé un Riverside original de Wes Montgomery, celui où figure « ‘Round Midnight« , avec Mel Rhyne à l’orgue. Deux euros. D’accord, la pochette était un peu fatiguée. Mais le disque était parfait.
A suivre…
Philippe Méziat
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Cliquez « lire la suite » pour vous donner envie de vous rendre à 18.30 au théâtre de Perpignan ! Vous y avez rendez-vous avec Eve Risser (p), pour un solo, puis à 20.30 deux concerts, le premier sous le nom de Saiyuki fera entendre Nguyên Lé (g), Mieko Miyasaki (koto, voc) et Prabhu Edouard (tablas, perc, voc), et le second Joachim Kühn (p, as), Christian Lillinger (dm) et Sébastien Boisseau (b). Un des plus importants pianistes de l’histoire du jazz, rien moins que.
Sinon il m’est arrivé plein d’aventures formidables à Perpignan, aventures musicales et culinaro-musicales, je vous raconte ça dès que possible. Mais comme j’avais écrit tout ça il y a une heure, et que tout s’est effacé au dernier moment, je mets ces deux photos en ligne (prises hier après-midi) et on verra pour la suite.
Juste en deux mots : un restaurant en terrasse dans la vieille ville (« La Baratine »), on mange sur des sets de table constitués par des vinyles de musique classique (opéra), et bien sûr je demande au patron s’il ne lui en reste pas quelques uns encore pas trop tachés par les éclaboussures de gaspacho. « Mais oui, me dit-il, servez-vous, je vous les fait à deux euros pièce ». J’en prends six, et un repas complet à 11.50 (entrée + plat). Bon moment, belle rencontre, ceux qui connaissent ma passion pour les vinyles de musique classique apprécieront.
Ce n’est pas tout dans le genre. Le monument érigé en l’honneur de Pablo Casals est surmontée d’une statue représentant une jeune femme nue, et à quelques mètres de là une autre sculpture est dite « de la femme sans bras ». Difficile pour elle de jouer du violoncelle.
Monument en l’honneur de Pau Casals
Perpignan est une ville formidable ! Jamais à Bordeaux (pourtant on y trouve un conservatoire appelé Jacques Thibaud, soit l’autre tiers du fameux trio Cortot/Thibaud/Casals, reste à trouver la ville d’Alfred Cortot et le tour est joué !), donc jamais à Bordeaux il me serait possible de trouver des vinyles d’opéra sur des tables de restaurant… Et encore moins Joachim Kühn en train de répéter au théâtre municipal. Et Eve Risser, quelle idée !!! Non seulement à Perpignan la gare est le centre du monde, mais tout le reste à l’avenant. Le vieux quartier, ses petites places ombragées, le 17 et ses spécialités de poisson (aile de raie, vous connaissez beaucoup d’endroits où l’on vous propose encore des ailes de raie ?), et pour finir ce disquaire situé je ne sais plus où, un peu au dessus du théâtre, sur une petite place, dans un désordre total j’y ai trouvé un Riverside original de Wes Montgomery, celui où figure « ‘Round Midnight« , avec Mel Rhyne à l’orgue. Deux euros. D’accord, la pochette était un peu fatiguée. Mais le disque était parfait.
A suivre…
Philippe Méziat
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Cliquez « lire la suite » pour vous donner envie de vous rendre à 18.30 au théâtre de Perpignan ! Vous y avez rendez-vous avec Eve Risser (p), pour un solo, puis à 20.30 deux concerts, le premier sous le nom de Saiyuki fera entendre Nguyên Lé (g), Mieko Miyasaki (koto, voc) et Prabhu Edouard (tablas, perc, voc), et le second Joachim Kühn (p, as), Christian Lillinger (dm) et Sébastien Boisseau (b). Un des plus importants pianistes de l’histoire du jazz, rien moins que.
Sinon il m’est arrivé plein d’aventures formidables à Perpignan, aventures musicales et culinaro-musicales, je vous raconte ça dès que possible. Mais comme j’avais écrit tout ça il y a une heure, et que tout s’est effacé au dernier moment, je mets ces deux photos en ligne (prises hier après-midi) et on verra pour la suite.
Juste en deux mots : un restaurant en terrasse dans la vieille ville (« La Baratine »), on mange sur des sets de table constitués par des vinyles de musique classique (opéra), et bien sûr je demande au patron s’il ne lui en reste pas quelques uns encore pas trop tachés par les éclaboussures de gaspacho. « Mais oui, me dit-il, servez-vous, je vous les fait à deux euros pièce ». J’en prends six, et un repas complet à 11.50 (entrée + plat). Bon moment, belle rencontre, ceux qui connaissent ma passion pour les vinyles de musique classique apprécieront.
Ce n’est pas tout dans le genre. Le monument érigé en l’honneur de Pablo Casals est surmontée d’une statue représentant une jeune femme nue, et à quelques mètres de là une autre sculpture est dite « de la femme sans bras ». Difficile pour elle de jouer du violoncelle.
Monument en l’honneur de Pau Casals
Perpignan est une ville formidable ! Jamais à Bordeaux (pourtant on y trouve un conservatoire appelé Jacques Thibaud, soit l’autre tiers du fameux trio Cortot/Thibaud/Casals, reste à trouver la ville d’Alfred Cortot et le tour est joué !), donc jamais à Bordeaux il me serait possible de trouver des vinyles d’opéra sur des tables de restaurant… Et encore moins Joachim Kühn en train de répéter au théâtre municipal. Et Eve Risser, quelle idée !!! Non seulement à Perpignan la gare est le centre du monde, mais tout le reste à l’avenant. Le vieux quartier, ses petites places ombragées, le 17 et ses spécialités de poisson (aile de raie, vous connaissez beaucoup d’endroits où l’on vous propose encore des ailes de raie ?), et pour finir ce disquaire situé je ne sais plus où, un peu au dessus du théâtre, sur une petite place, dans un désordre total j’y ai trouvé un Riverside original de Wes Montgomery, celui où figure « ‘Round Midnight« , avec Mel Rhyne à l’orgue. Deux euros. D’accord, la pochette était un peu fatiguée. Mais le disque était parfait.
A suivre…
Philippe Méziat