Jazz live
Publié le 13 Déc 2012

Jean-Louis Ginibre (1933-2012)

« Un art qui a de la vie ne reproduit pas le passé : il le continue ». Cette citation de Rodin (le sculpteur fameux du Penseur) vient en légende d’une photo de Martial Solal dans le n° 83 de Jazz Magazine (juin 1962). Elle donne à penser, précisément, et elle signe l’apparition de Jean-Louis Ginibre à la rédaction en chef du journal. Un poste qu’il assumera pendant neuf ans, en même temps que beaucoup d’autres au sein des publications Filipacchi (Lui, Pariscope, etc.), sans faiblesse ni retard. Jamais. Il faut signer aujourd’hui sa disparition le dimanche 9 décembre à Los Angeles, un mois après son épouse Barbara. Homme à la rigueur passionnée, Ginibre profitait de ses voyages professionnels tout autour du monde pour dénicher les vinyles de jazz les plus improbables chez les disquaires les plus enfouis avec l’ambition déraisonnable de les posséder tous. Certains disent qu’il y est parvenu.

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« Un art qui a de la vie ne reproduit pas le passé : il le continue ». Cette citation de Rodin (le sculpteur fameux du Penseur) vient en légende d’une photo de Martial Solal dans le n° 83 de Jazz Magazine (juin 1962). Elle donne à penser, précisément, et elle signe l’apparition de Jean-Louis Ginibre à la rédaction en chef du journal. Un poste qu’il assumera pendant neuf ans, en même temps que beaucoup d’autres au sein des publications Filipacchi (Lui, Pariscope, etc.), sans faiblesse ni retard. Jamais. Il faut signer aujourd’hui sa disparition le dimanche 9 décembre à Los Angeles, un mois après son épouse Barbara. Homme à la rigueur passionnée, Ginibre profitait de ses voyages professionnels tout autour du monde pour dénicher les vinyles de jazz les plus improbables chez les disquaires les plus enfouis avec l’ambition déraisonnable de les posséder tous. Certains disent qu’il y est parvenu.

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« Un art qui a de la vie ne reproduit pas le passé : il le continue ». Cette citation de Rodin (le sculpteur fameux du Penseur) vient en légende d’une photo de Martial Solal dans le n° 83 de Jazz Magazine (juin 1962). Elle donne à penser, précisément, et elle signe l’apparition de Jean-Louis Ginibre à la rédaction en chef du journal. Un poste qu’il assumera pendant neuf ans, en même temps que beaucoup d’autres au sein des publications Filipacchi (Lui, Pariscope, etc.), sans faiblesse ni retard. Jamais. Il faut signer aujourd’hui sa disparition le dimanche 9 décembre à Los Angeles, un mois après son épouse Barbara. Homme à la rigueur passionnée, Ginibre profitait de ses voyages professionnels tout autour du monde pour dénicher les vinyles de jazz les plus improbables chez les disquaires les plus enfouis avec l’ambition déraisonnable de les posséder tous. Certains disent qu’il y est parvenu.

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« Un art qui a de la vie ne reproduit pas le passé : il le continue ». Cette citation de Rodin (le sculpteur fameux du Penseur) vient en légende d’une photo de Martial Solal dans le n° 83 de Jazz Magazine (juin 1962). Elle donne à penser, précisément, et elle signe l’apparition de Jean-Louis Ginibre à la rédaction en chef du journal. Un poste qu’il assumera pendant neuf ans, en même temps que beaucoup d’autres au sein des publications Filipacchi (Lui, Pariscope, etc.), sans faiblesse ni retard. Jamais. Il faut signer aujourd’hui sa disparition le dimanche 9 décembre à Los Angeles, un mois après son épouse Barbara. Homme à la rigueur passionnée, Ginibre profitait de ses voyages professionnels tout autour du monde pour dénicher les vinyles de jazz les plus improbables chez les disquaires les plus enfouis avec l’ambition déraisonnable de les posséder tous. Certains disent qu’il y est parvenu.