Jazz live
Publié le 22 Fév 2013

Le Cube d’Alban Darche à l’Improviste

Ce soir 22 février à 18h30, à Paris au showroom (appelons ça l’espace d’exposition, même si ce lieu accueille des saxophonistes du monde entier lorsqu’ils sont de passage à Paris) du fabricant de saxophones et clarinettes Selmer, on pourra entendre le Cube. Soit le trio d’Aban Darche si l’on considère qu’il en est l’unique compositeur, dans les faits le collectif associant le saxophoniste depuis plus de 10 ans au contrebassiste Sébastien Boisseau et au batteur Christophe Lavergne. Ils sont venus à Paris présenter leur disque “Frelon rouge” et l’on pouvait les écouter hier sur la Péniche l’Improviste, un concert qui donne tort à ceux qui bouderaient ce soir leur prestation à la maison Selmer (18, rue de la Fontaine au Roi). Et pourquoi donc ?

 

En deux mots, sans m’étendre sur la cohésion joyeuse de ce trio, parce que l’heure tourne et que le devoir m’appelle rue Duphot… Il est peu de saxophonistes identifiables comme Alban Darche, parce qu’il a une écriture – qu’elle soit déposée sur le papier où qu’elle trame ses improvisations – à nulle autre pareille. Est-ce que cela tient à certains angles mélodiques, aux trames harmoniques qui les guident, à ces petits motifs ascendants ou descendants qu’il transpose en cascades (elles-mêmes ascendantes ou descendantes), à ce staccato narquois dont il hache ses phrases ou à un héritage balkanique totalement détourné et assimilé mais qu’il laisse brièvement entrevoir dans une introduction curieusement tempérée. C’est frais, plein d’humour, d’une fausse-vraie désinvolture qui m’évoque la statuaire de Max Ernst. Je ne vous en dis pas plus… Je chroniquerai leur disque “Frelon rouge” (Yolk / L’Autre Distribution) dans notre numéro d’avril) et la peur de la page blanche me retient du risque de ne plus rien en avoir à dire, même si leur disque est plus civil que leur concert ici et là plus joyeusement impertinent.

 

Franck Bergerot

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Ce soir 22 février à 18h30, à Paris au showroom (appelons ça l’espace d’exposition, même si ce lieu accueille des saxophonistes du monde entier lorsqu’ils sont de passage à Paris) du fabricant de saxophones et clarinettes Selmer, on pourra entendre le Cube. Soit le trio d’Aban Darche si l’on considère qu’il en est l’unique compositeur, dans les faits le collectif associant le saxophoniste depuis plus de 10 ans au contrebassiste Sébastien Boisseau et au batteur Christophe Lavergne. Ils sont venus à Paris présenter leur disque “Frelon rouge” et l’on pouvait les écouter hier sur la Péniche l’Improviste, un concert qui donne tort à ceux qui bouderaient ce soir leur prestation à la maison Selmer (18, rue de la Fontaine au Roi). Et pourquoi donc ?

 

En deux mots, sans m’étendre sur la cohésion joyeuse de ce trio, parce que l’heure tourne et que le devoir m’appelle rue Duphot… Il est peu de saxophonistes identifiables comme Alban Darche, parce qu’il a une écriture – qu’elle soit déposée sur le papier où qu’elle trame ses improvisations – à nulle autre pareille. Est-ce que cela tient à certains angles mélodiques, aux trames harmoniques qui les guident, à ces petits motifs ascendants ou descendants qu’il transpose en cascades (elles-mêmes ascendantes ou descendantes), à ce staccato narquois dont il hache ses phrases ou à un héritage balkanique totalement détourné et assimilé mais qu’il laisse brièvement entrevoir dans une introduction curieusement tempérée. C’est frais, plein d’humour, d’une fausse-vraie désinvolture qui m’évoque la statuaire de Max Ernst. Je ne vous en dis pas plus… Je chroniquerai leur disque “Frelon rouge” (Yolk / L’Autre Distribution) dans notre numéro d’avril) et la peur de la page blanche me retient du risque de ne plus rien en avoir à dire, même si leur disque est plus civil que leur concert ici et là plus joyeusement impertinent.

 

Franck Bergerot

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Ce soir 22 février à 18h30, à Paris au showroom (appelons ça l’espace d’exposition, même si ce lieu accueille des saxophonistes du monde entier lorsqu’ils sont de passage à Paris) du fabricant de saxophones et clarinettes Selmer, on pourra entendre le Cube. Soit le trio d’Aban Darche si l’on considère qu’il en est l’unique compositeur, dans les faits le collectif associant le saxophoniste depuis plus de 10 ans au contrebassiste Sébastien Boisseau et au batteur Christophe Lavergne. Ils sont venus à Paris présenter leur disque “Frelon rouge” et l’on pouvait les écouter hier sur la Péniche l’Improviste, un concert qui donne tort à ceux qui bouderaient ce soir leur prestation à la maison Selmer (18, rue de la Fontaine au Roi). Et pourquoi donc ?

 

En deux mots, sans m’étendre sur la cohésion joyeuse de ce trio, parce que l’heure tourne et que le devoir m’appelle rue Duphot… Il est peu de saxophonistes identifiables comme Alban Darche, parce qu’il a une écriture – qu’elle soit déposée sur le papier où qu’elle trame ses improvisations – à nulle autre pareille. Est-ce que cela tient à certains angles mélodiques, aux trames harmoniques qui les guident, à ces petits motifs ascendants ou descendants qu’il transpose en cascades (elles-mêmes ascendantes ou descendantes), à ce staccato narquois dont il hache ses phrases ou à un héritage balkanique totalement détourné et assimilé mais qu’il laisse brièvement entrevoir dans une introduction curieusement tempérée. C’est frais, plein d’humour, d’une fausse-vraie désinvolture qui m’évoque la statuaire de Max Ernst. Je ne vous en dis pas plus… Je chroniquerai leur disque “Frelon rouge” (Yolk / L’Autre Distribution) dans notre numéro d’avril) et la peur de la page blanche me retient du risque de ne plus rien en avoir à dire, même si leur disque est plus civil que leur concert ici et là plus joyeusement impertinent.

 

Franck Bergerot

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Ce soir 22 février à 18h30, à Paris au showroom (appelons ça l’espace d’exposition, même si ce lieu accueille des saxophonistes du monde entier lorsqu’ils sont de passage à Paris) du fabricant de saxophones et clarinettes Selmer, on pourra entendre le Cube. Soit le trio d’Aban Darche si l’on considère qu’il en est l’unique compositeur, dans les faits le collectif associant le saxophoniste depuis plus de 10 ans au contrebassiste Sébastien Boisseau et au batteur Christophe Lavergne. Ils sont venus à Paris présenter leur disque “Frelon rouge” et l’on pouvait les écouter hier sur la Péniche l’Improviste, un concert qui donne tort à ceux qui bouderaient ce soir leur prestation à la maison Selmer (18, rue de la Fontaine au Roi). Et pourquoi donc ?

 

En deux mots, sans m’étendre sur la cohésion joyeuse de ce trio, parce que l’heure tourne et que le devoir m’appelle rue Duphot… Il est peu de saxophonistes identifiables comme Alban Darche, parce qu’il a une écriture – qu’elle soit déposée sur le papier où qu’elle trame ses improvisations – à nulle autre pareille. Est-ce que cela tient à certains angles mélodiques, aux trames harmoniques qui les guident, à ces petits motifs ascendants ou descendants qu’il transpose en cascades (elles-mêmes ascendantes ou descendantes), à ce staccato narquois dont il hache ses phrases ou à un héritage balkanique totalement détourné et assimilé mais qu’il laisse brièvement entrevoir dans une introduction curieusement tempérée. C’est frais, plein d’humour, d’une fausse-vraie désinvolture qui m’évoque la statuaire de Max Ernst. Je ne vous en dis pas plus… Je chroniquerai leur disque “Frelon rouge” (Yolk / L’Autre Distribution) dans notre numéro d’avril) et la peur de la page blanche me retient du risque de ne plus rien en avoir à dire, même si leur disque est plus civil que leur concert ici et là plus joyeusement impertinent.

 

Franck Bergerot