Jazz live
Publié le 25 Nov 2015

Monte Carlo Jazz Festval: 10e sur le Rocher !

Le Monte Carlo Jazz Festival va célébrer cette année son dixième anniversaire. Des concerts du 25 novembre au 6 décembre dans le cadre du prestigieux Opéra Garnier avec en figure de proue Avishai Cohen, Marcus Miller, Gregory Porter, Mélody Gardot, Hugh Coltman, Paolo Conte. Flash back sur une décade de jazz à Monaco avec le Directeur Artistique de la Société des Bains de Mer (SBM), fondateur et boss du festival, Jean-René Palacio.

« J’ai mis cette idée en musique en 2006 à partir d’un constat  simple: le passage de l’automne à l’hiver représente une sorte de creux en matière de festival de jazz dans la région. Vouloir donner un nouveau rendez vous au public monégasque, à celui de la Côte d’Azur c’était donc aussi pouvoir créer un évènement de plus dans la Principauté en parallèle à la saison du Ballet, de l’Orchestre Philharmonique. Il s’agissait d’un pari dans un créneau plutôt inédit sur le Rocher. Nous l’avons relevé, et au bout de dix ans le festival est toujours là. Il a même grandi, mûri. Le principe de programmation demeure le même: montrer que le jazz n’est pas seulement une musique de « niche », réservé à des habitués, à des oreilles averties. Bien entendu, nous avons besoin de grands noms, d’artistes de renom. On se souvient ici des concerts d’Herbe Hancock, de Sonny Rollins mais aussi du dernier donné par Clark Terry avant sa disparition. J’aime le jazz et mon souci principal reste de le faire découvrir dans toutes ses facettes, y compris à la marge. Nous proposons ainsi à dessein sur la scène de notre « Garnier » des orchestres aux frontières du jazz, mordant sur le rock, la soul ou même la chanson. J’ai la volonté de faire découvrir de nouveaux talents comme avant Géraldine Laurent ou cette année Selah Sue. Ici nous bénéficions suite à dix années de travail (n’oublions pas que dans notre programmation musicale de l’été le jazz est également présent à Monte Carlo)  d’un public fidélisé, avec outre les Monégasques, des amateurs de jazz venus de Nice et de la toute Côte, des italiens ainsi que des représentants de la communauté anglo saxonne nombreuse dans la région prise au sen large. Je  reste toutefois persuadé qu’il faut élargir encore le public du jazz, lequel reste à mes yeux la musique la plus ouverte. En ce sens un festival comme le nôtre se doit de ne surtout pas oublier le goût, la curiosité des nouvelles générations mêmes si elles ne connaissent pas l’histoire de cette musique. Je vois dans cette ouverture, dans une exigence de qualité de contenu,  une vraie dynamique pour le futur du festival »

 

 Robert Latxague

 

 

 

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Le Monte Carlo Jazz Festival va célébrer cette année son dixième anniversaire. Des concerts du 25 novembre au 6 décembre dans le cadre du prestigieux Opéra Garnier avec en figure de proue Avishai Cohen, Marcus Miller, Gregory Porter, Mélody Gardot, Hugh Coltman, Paolo Conte. Flash back sur une décade de jazz à Monaco avec le Directeur Artistique de la Société des Bains de Mer (SBM), fondateur et boss du festival, Jean-René Palacio.

« J’ai mis cette idée en musique en 2006 à partir d’un constat  simple: le passage de l’automne à l’hiver représente une sorte de creux en matière de festival de jazz dans la région. Vouloir donner un nouveau rendez vous au public monégasque, à celui de la Côte d’Azur c’était donc aussi pouvoir créer un évènement de plus dans la Principauté en parallèle à la saison du Ballet, de l’Orchestre Philharmonique. Il s’agissait d’un pari dans un créneau plutôt inédit sur le Rocher. Nous l’avons relevé, et au bout de dix ans le festival est toujours là. Il a même grandi, mûri. Le principe de programmation demeure le même: montrer que le jazz n’est pas seulement une musique de « niche », réservé à des habitués, à des oreilles averties. Bien entendu, nous avons besoin de grands noms, d’artistes de renom. On se souvient ici des concerts d’Herbe Hancock, de Sonny Rollins mais aussi du dernier donné par Clark Terry avant sa disparition. J’aime le jazz et mon souci principal reste de le faire découvrir dans toutes ses facettes, y compris à la marge. Nous proposons ainsi à dessein sur la scène de notre « Garnier » des orchestres aux frontières du jazz, mordant sur le rock, la soul ou même la chanson. J’ai la volonté de faire découvrir de nouveaux talents comme avant Géraldine Laurent ou cette année Selah Sue. Ici nous bénéficions suite à dix années de travail (n’oublions pas que dans notre programmation musicale de l’été le jazz est également présent à Monte Carlo)  d’un public fidélisé, avec outre les Monégasques, des amateurs de jazz venus de Nice et de la toute Côte, des italiens ainsi que des représentants de la communauté anglo saxonne nombreuse dans la région prise au sen large. Je  reste toutefois persuadé qu’il faut élargir encore le public du jazz, lequel reste à mes yeux la musique la plus ouverte. En ce sens un festival comme le nôtre se doit de ne surtout pas oublier le goût, la curiosité des nouvelles générations mêmes si elles ne connaissent pas l’histoire de cette musique. Je vois dans cette ouverture, dans une exigence de qualité de contenu,  une vraie dynamique pour le futur du festival »

 

 Robert Latxague

 

 

 

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Le Monte Carlo Jazz Festival va célébrer cette année son dixième anniversaire. Des concerts du 25 novembre au 6 décembre dans le cadre du prestigieux Opéra Garnier avec en figure de proue Avishai Cohen, Marcus Miller, Gregory Porter, Mélody Gardot, Hugh Coltman, Paolo Conte. Flash back sur une décade de jazz à Monaco avec le Directeur Artistique de la Société des Bains de Mer (SBM), fondateur et boss du festival, Jean-René Palacio.

« J’ai mis cette idée en musique en 2006 à partir d’un constat  simple: le passage de l’automne à l’hiver représente une sorte de creux en matière de festival de jazz dans la région. Vouloir donner un nouveau rendez vous au public monégasque, à celui de la Côte d’Azur c’était donc aussi pouvoir créer un évènement de plus dans la Principauté en parallèle à la saison du Ballet, de l’Orchestre Philharmonique. Il s’agissait d’un pari dans un créneau plutôt inédit sur le Rocher. Nous l’avons relevé, et au bout de dix ans le festival est toujours là. Il a même grandi, mûri. Le principe de programmation demeure le même: montrer que le jazz n’est pas seulement une musique de « niche », réservé à des habitués, à des oreilles averties. Bien entendu, nous avons besoin de grands noms, d’artistes de renom. On se souvient ici des concerts d’Herbe Hancock, de Sonny Rollins mais aussi du dernier donné par Clark Terry avant sa disparition. J’aime le jazz et mon souci principal reste de le faire découvrir dans toutes ses facettes, y compris à la marge. Nous proposons ainsi à dessein sur la scène de notre « Garnier » des orchestres aux frontières du jazz, mordant sur le rock, la soul ou même la chanson. J’ai la volonté de faire découvrir de nouveaux talents comme avant Géraldine Laurent ou cette année Selah Sue. Ici nous bénéficions suite à dix années de travail (n’oublions pas que dans notre programmation musicale de l’été le jazz est également présent à Monte Carlo)  d’un public fidélisé, avec outre les Monégasques, des amateurs de jazz venus de Nice et de la toute Côte, des italiens ainsi que des représentants de la communauté anglo saxonne nombreuse dans la région prise au sen large. Je  reste toutefois persuadé qu’il faut élargir encore le public du jazz, lequel reste à mes yeux la musique la plus ouverte. En ce sens un festival comme le nôtre se doit de ne surtout pas oublier le goût, la curiosité des nouvelles générations mêmes si elles ne connaissent pas l’histoire de cette musique. Je vois dans cette ouverture, dans une exigence de qualité de contenu,  une vraie dynamique pour le futur du festival »

 

 Robert Latxague

 

 

 

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Le Monte Carlo Jazz Festival va célébrer cette année son dixième anniversaire. Des concerts du 25 novembre au 6 décembre dans le cadre du prestigieux Opéra Garnier avec en figure de proue Avishai Cohen, Marcus Miller, Gregory Porter, Mélody Gardot, Hugh Coltman, Paolo Conte. Flash back sur une décade de jazz à Monaco avec le Directeur Artistique de la Société des Bains de Mer (SBM), fondateur et boss du festival, Jean-René Palacio.

« J’ai mis cette idée en musique en 2006 à partir d’un constat  simple: le passage de l’automne à l’hiver représente une sorte de creux en matière de festival de jazz dans la région. Vouloir donner un nouveau rendez vous au public monégasque, à celui de la Côte d’Azur c’était donc aussi pouvoir créer un évènement de plus dans la Principauté en parallèle à la saison du Ballet, de l’Orchestre Philharmonique. Il s’agissait d’un pari dans un créneau plutôt inédit sur le Rocher. Nous l’avons relevé, et au bout de dix ans le festival est toujours là. Il a même grandi, mûri. Le principe de programmation demeure le même: montrer que le jazz n’est pas seulement une musique de « niche », réservé à des habitués, à des oreilles averties. Bien entendu, nous avons besoin de grands noms, d’artistes de renom. On se souvient ici des concerts d’Herbe Hancock, de Sonny Rollins mais aussi du dernier donné par Clark Terry avant sa disparition. J’aime le jazz et mon souci principal reste de le faire découvrir dans toutes ses facettes, y compris à la marge. Nous proposons ainsi à dessein sur la scène de notre « Garnier » des orchestres aux frontières du jazz, mordant sur le rock, la soul ou même la chanson. J’ai la volonté de faire découvrir de nouveaux talents comme avant Géraldine Laurent ou cette année Selah Sue. Ici nous bénéficions suite à dix années de travail (n’oublions pas que dans notre programmation musicale de l’été le jazz est également présent à Monte Carlo)  d’un public fidélisé, avec outre les Monégasques, des amateurs de jazz venus de Nice et de la toute Côte, des italiens ainsi que des représentants de la communauté anglo saxonne nombreuse dans la région prise au sen large. Je  reste toutefois persuadé qu’il faut élargir encore le public du jazz, lequel reste à mes yeux la musique la plus ouverte. En ce sens un festival comme le nôtre se doit de ne surtout pas oublier le goût, la curiosité des nouvelles générations mêmes si elles ne connaissent pas l’histoire de cette musique. Je vois dans cette ouverture, dans une exigence de qualité de contenu,  une vraie dynamique pour le futur du festival »

 

 Robert Latxague