Jazz live
Publié le 24 Oct 2012

Atlantique Jazz Festival, Alexandre Pierrepont

PROFIL ALEXANDRIN

 

Pas si peinard que ça, le jazz armoricain

Malgré son nom d’ici. « Penn Ar Jazz » dites-vous ?

Et puisqu’il est question, du jazz américain

Jusqu’à celui de Brest d’avoir le projet fou

D’y établir des ponts, qu’ils soient alexandrins

Et de pierre construits.

 

Je réalisais ça en écoutant, hier,

Notre ami Alexandre, qui brossait le portrait

D’une ville des vents à la stature fière

Et dont les musiciens au cours des temps avaient

Conjugué leurs talents.

 

« Nous ferons l’art ensemble » était leur lettre d’or

Et la musique avait, dans leurs souffles et leurs doigts

Des pouvoirs inconnus sur les terres d’Armor.

 

Et c’est avec l’esprit rempli de ces pensées

Que je m’en fus après écouter Hemingway,

Et puis aussi Hamid, et encore Ellery…

 

Mais vous aussi venez dans ce club légendaire

Appelé le Vauban. Et jouissez de la chair

D’une musique enfin libérée du marché.

 

 Alexandre Pierrepont

|

PROFIL ALEXANDRIN

 

Pas si peinard que ça, le jazz armoricain

Malgré son nom d’ici. « Penn Ar Jazz » dites-vous ?

Et puisqu’il est question, du jazz américain

Jusqu’à celui de Brest d’avoir le projet fou

D’y établir des ponts, qu’ils soient alexandrins

Et de pierre construits.

 

Je réalisais ça en écoutant, hier,

Notre ami Alexandre, qui brossait le portrait

D’une ville des vents à la stature fière

Et dont les musiciens au cours des temps avaient

Conjugué leurs talents.

 

« Nous ferons l’art ensemble » était leur lettre d’or

Et la musique avait, dans leurs souffles et leurs doigts

Des pouvoirs inconnus sur les terres d’Armor.

 

Et c’est avec l’esprit rempli de ces pensées

Que je m’en fus après écouter Hemingway,

Et puis aussi Hamid, et encore Ellery…

 

Mais vous aussi venez dans ce club légendaire

Appelé le Vauban. Et jouissez de la chair

D’une musique enfin libérée du marché.

 

 Alexandre Pierrepont

|

PROFIL ALEXANDRIN

 

Pas si peinard que ça, le jazz armoricain

Malgré son nom d’ici. « Penn Ar Jazz » dites-vous ?

Et puisqu’il est question, du jazz américain

Jusqu’à celui de Brest d’avoir le projet fou

D’y établir des ponts, qu’ils soient alexandrins

Et de pierre construits.

 

Je réalisais ça en écoutant, hier,

Notre ami Alexandre, qui brossait le portrait

D’une ville des vents à la stature fière

Et dont les musiciens au cours des temps avaient

Conjugué leurs talents.

 

« Nous ferons l’art ensemble » était leur lettre d’or

Et la musique avait, dans leurs souffles et leurs doigts

Des pouvoirs inconnus sur les terres d’Armor.

 

Et c’est avec l’esprit rempli de ces pensées

Que je m’en fus après écouter Hemingway,

Et puis aussi Hamid, et encore Ellery…

 

Mais vous aussi venez dans ce club légendaire

Appelé le Vauban. Et jouissez de la chair

D’une musique enfin libérée du marché.

 

 Alexandre Pierrepont

|

PROFIL ALEXANDRIN

 

Pas si peinard que ça, le jazz armoricain

Malgré son nom d’ici. « Penn Ar Jazz » dites-vous ?

Et puisqu’il est question, du jazz américain

Jusqu’à celui de Brest d’avoir le projet fou

D’y établir des ponts, qu’ils soient alexandrins

Et de pierre construits.

 

Je réalisais ça en écoutant, hier,

Notre ami Alexandre, qui brossait le portrait

D’une ville des vents à la stature fière

Et dont les musiciens au cours des temps avaient

Conjugué leurs talents.

 

« Nous ferons l’art ensemble » était leur lettre d’or

Et la musique avait, dans leurs souffles et leurs doigts

Des pouvoirs inconnus sur les terres d’Armor.

 

Et c’est avec l’esprit rempli de ces pensées

Que je m’en fus après écouter Hemingway,

Et puis aussi Hamid, et encore Ellery…

 

Mais vous aussi venez dans ce club légendaire

Appelé le Vauban. Et jouissez de la chair

D’une musique enfin libérée du marché.

 

 Alexandre Pierrepont