Jazz live
Publié le 14 Mai 2012

Emmanuel Bex, Glenn Ferris, Simon Goubert à Mimizan (Landes)

Réunir 200 personnes – dont certaines venues de Bordeaux ou de Bayonne – dans la salle du « Parnasse » à Mimizan (Landes), par une belle après-midi d’un dimanche ensoleillé, le tout à 17.00, constitue déjà en soi une belle performance, à mettre au crédit de toute l’équipe (salariés et bénévoles) qui anime ce lieu toute l’année. Comme le concert a été précédé la veille d’une master-class dirigée par Glenn Ferris, à l’adresse de l’atelier « jazz » de l’école de musique de Mimizan, dirigée par Dominique Lauga, on peut supposer que cette réussite tient aussi à un partenariat efficace, noué entre les diverses instances musicales du canton. En point d’orgue de ce beau concert, un superbe coucher de soleil, qu’il nous a été loisible de contempler avec tous les musiciens et organisateurs de la manifestation en toute fin de journée.


Le concert aura marqué les esprits : venus nombreux, les auditeurs de la petite ville de bord de mer ne s’attendaient à rien de précis, et ils ont été conquis par l’allant de la musique du trio, de la plume des trois instrumentistes ou de quelques rares autres, Grachan Moncur III par exemple. Un set de plus d’une heure, avec deux rappels, des thèmes toujours marqués, même dans les tempos lents, par une belle positivité, une sorte d’affirmation de la vie, de la danse, du rythme, du mouvement vers l’avant. De quoi réveiller les âmes et les corps. Glenn Ferris est toujours un soliste de grande envergure, capable de faire sonner son trombone de façon lisse et sinueuse, soucieux des silences et des contrastes. Quant à Emmanuel Bex et Simon Goubert, ils s’entendent à faire monter la tension comme il faut et quand il faut, avec une confondante sureté. Pour un trio que ne joue pas si souvent, une entente parfaite !


Les Landes ne sont pas qu’un long défilé de pins maritimes, et on connaît (et on aime) ces fameux airials où un peu de fraicheur et la présence d’un ruisseau autorisent une végétation différente, et partant un habitat bien plus condensé. Ces airials sont un peu secrets, et ils tendent à le rester. Souhaitons quand même que de tels moments de musique, qui sont un peu des « airials musicaux » se produisent encore, et se répandent.

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Réunir 200 personnes – dont certaines venues de Bordeaux ou de Bayonne – dans la salle du « Parnasse » à Mimizan (Landes), par une belle après-midi d’un dimanche ensoleillé, le tout à 17.00, constitue déjà en soi une belle performance, à mettre au crédit de toute l’équipe (salariés et bénévoles) qui anime ce lieu toute l’année. Comme le concert a été précédé la veille d’une master-class dirigée par Glenn Ferris, à l’adresse de l’atelier « jazz » de l’école de musique de Mimizan, dirigée par Dominique Lauga, on peut supposer que cette réussite tient aussi à un partenariat efficace, noué entre les diverses instances musicales du canton. En point d’orgue de ce beau concert, un superbe coucher de soleil, qu’il nous a été loisible de contempler avec tous les musiciens et organisateurs de la manifestation en toute fin de journée.


Le concert aura marqué les esprits : venus nombreux, les auditeurs de la petite ville de bord de mer ne s’attendaient à rien de précis, et ils ont été conquis par l’allant de la musique du trio, de la plume des trois instrumentistes ou de quelques rares autres, Grachan Moncur III par exemple. Un set de plus d’une heure, avec deux rappels, des thèmes toujours marqués, même dans les tempos lents, par une belle positivité, une sorte d’affirmation de la vie, de la danse, du rythme, du mouvement vers l’avant. De quoi réveiller les âmes et les corps. Glenn Ferris est toujours un soliste de grande envergure, capable de faire sonner son trombone de façon lisse et sinueuse, soucieux des silences et des contrastes. Quant à Emmanuel Bex et Simon Goubert, ils s’entendent à faire monter la tension comme il faut et quand il faut, avec une confondante sureté. Pour un trio que ne joue pas si souvent, une entente parfaite !


Les Landes ne sont pas qu’un long défilé de pins maritimes, et on connaît (et on aime) ces fameux airials où un peu de fraicheur et la présence d’un ruisseau autorisent une végétation différente, et partant un habitat bien plus condensé. Ces airials sont un peu secrets, et ils tendent à le rester. Souhaitons quand même que de tels moments de musique, qui sont un peu des « airials musicaux » se produisent encore, et se répandent.

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Réunir 200 personnes – dont certaines venues de Bordeaux ou de Bayonne – dans la salle du « Parnasse » à Mimizan (Landes), par une belle après-midi d’un dimanche ensoleillé, le tout à 17.00, constitue déjà en soi une belle performance, à mettre au crédit de toute l’équipe (salariés et bénévoles) qui anime ce lieu toute l’année. Comme le concert a été précédé la veille d’une master-class dirigée par Glenn Ferris, à l’adresse de l’atelier « jazz » de l’école de musique de Mimizan, dirigée par Dominique Lauga, on peut supposer que cette réussite tient aussi à un partenariat efficace, noué entre les diverses instances musicales du canton. En point d’orgue de ce beau concert, un superbe coucher de soleil, qu’il nous a été loisible de contempler avec tous les musiciens et organisateurs de la manifestation en toute fin de journée.


Le concert aura marqué les esprits : venus nombreux, les auditeurs de la petite ville de bord de mer ne s’attendaient à rien de précis, et ils ont été conquis par l’allant de la musique du trio, de la plume des trois instrumentistes ou de quelques rares autres, Grachan Moncur III par exemple. Un set de plus d’une heure, avec deux rappels, des thèmes toujours marqués, même dans les tempos lents, par une belle positivité, une sorte d’affirmation de la vie, de la danse, du rythme, du mouvement vers l’avant. De quoi réveiller les âmes et les corps. Glenn Ferris est toujours un soliste de grande envergure, capable de faire sonner son trombone de façon lisse et sinueuse, soucieux des silences et des contrastes. Quant à Emmanuel Bex et Simon Goubert, ils s’entendent à faire monter la tension comme il faut et quand il faut, avec une confondante sureté. Pour un trio que ne joue pas si souvent, une entente parfaite !


Les Landes ne sont pas qu’un long défilé de pins maritimes, et on connaît (et on aime) ces fameux airials où un peu de fraicheur et la présence d’un ruisseau autorisent une végétation différente, et partant un habitat bien plus condensé. Ces airials sont un peu secrets, et ils tendent à le rester. Souhaitons quand même que de tels moments de musique, qui sont un peu des « airials musicaux » se produisent encore, et se répandent.

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Réunir 200 personnes – dont certaines venues de Bordeaux ou de Bayonne – dans la salle du « Parnasse » à Mimizan (Landes), par une belle après-midi d’un dimanche ensoleillé, le tout à 17.00, constitue déjà en soi une belle performance, à mettre au crédit de toute l’équipe (salariés et bénévoles) qui anime ce lieu toute l’année. Comme le concert a été précédé la veille d’une master-class dirigée par Glenn Ferris, à l’adresse de l’atelier « jazz » de l’école de musique de Mimizan, dirigée par Dominique Lauga, on peut supposer que cette réussite tient aussi à un partenariat efficace, noué entre les diverses instances musicales du canton. En point d’orgue de ce beau concert, un superbe coucher de soleil, qu’il nous a été loisible de contempler avec tous les musiciens et organisateurs de la manifestation en toute fin de journée.


Le concert aura marqué les esprits : venus nombreux, les auditeurs de la petite ville de bord de mer ne s’attendaient à rien de précis, et ils ont été conquis par l’allant de la musique du trio, de la plume des trois instrumentistes ou de quelques rares autres, Grachan Moncur III par exemple. Un set de plus d’une heure, avec deux rappels, des thèmes toujours marqués, même dans les tempos lents, par une belle positivité, une sorte d’affirmation de la vie, de la danse, du rythme, du mouvement vers l’avant. De quoi réveiller les âmes et les corps. Glenn Ferris est toujours un soliste de grande envergure, capable de faire sonner son trombone de façon lisse et sinueuse, soucieux des silences et des contrastes. Quant à Emmanuel Bex et Simon Goubert, ils s’entendent à faire monter la tension comme il faut et quand il faut, avec une confondante sureté. Pour un trio que ne joue pas si souvent, une entente parfaite !


Les Landes ne sont pas qu’un long défilé de pins maritimes, et on connaît (et on aime) ces fameux airials où un peu de fraicheur et la présence d’un ruisseau autorisent une végétation différente, et partant un habitat bien plus condensé. Ces airials sont un peu secrets, et ils tendent à le rester. Souhaitons quand même que de tels moments de musique, qui sont un peu des « airials musicaux » se produisent encore, et se répandent.