Jazz live
Publié le 13 Jan 2017

Eric Seva, résidence body and blues au Rocher de Palmer

Une résidence au Rocher de Palmer à Cenon, deux concerts en Aquitaine puis entrée en studio pour enregistrer son nouvel album. Le saxophoniste Eric Seva change de cap pour son nouveau projet. Direction blues, groove and soul.

Eric Seva (bas, ss), Christophe Cravero (p, elp, org, vlo), Manu Galvin (g), Christophe Wallemme (b, elb), Stéphane Huchard (dm), Harrison Kennedy (voc, hwa, bjo)

Le Rocher de Palmer, Cenon, 13 janvier

Un retour au  blues. Au travers de  son nouveau projet Body and Blues Eric Seva entend passer par les accents et la métrique carrée de ce qu’il revendique comme « la musique source » Ou le blues comme matière artistique d’origine afro américaine décisive de par son pouvoir de narration, récit d’histoires individuelles originales « Savante ou plus souvent autodidacte cette langue universelle que représente désormais le blues possède le pouvoir de toucher, d’interroger, d’interpeler, de partager et de communiquer » Soient les caractéristiques d’une musique populaire aboutie. Seva revendique King Curtis comme son premier modèle de saxophoniste. Dans la lignée de cette sonorité de sax chaude, musclée il fait le pari d’une teneur profondément acoustique de la musique produite « En une période de course à la technologie je joue sur sur ce paradoxe tradition modernité pour conserver cette oralité du son, pour utiliser les variations d’intensité, de texture d’une pédale, j’ai branché une pédale  wah wah sur mon baryton ou mon soprano.

En résidence au Rocher de Palmer, à Cenon près de Bordeaux, l’orchestre dans sa préparation sonne effectivement bluesy, voire soul. Le travail collectif sur des compositions achevées in extremis, les arrangements sous la houlette de Sebastian Danchin (directeur artistique de réalisations discographiques ou spectacles de Mighty Mo Rodgers, Gil Scott-Heron ou récemment Jean Jacques Milteau), les apports de chacun des musicien -traits de guitare tranchantes de Manu Galvin, originalité dans le set de batterie de Stéphane Huchard etc.- donnent une force particulière à un contenu musical très différent du déjà entendu de la part du musicien basé à Marmande. En petite fenêtre d’une répétition de mise en place un court focus sur l’apport particulier du musicien chanteur originaire d’Hamilton (Ontario) Harrison Kennedy, voix élastique et rauque à la fois, s’appuyant sur un relai de banjo ou d’harmonica ne ment pas, ne jure pas en matière de blues ou de soul feeling. Eric Seva a choisi ses équipiers dans cette intention. Lundi prochain toute l’équipe entre en studio à Astaffort, chez Francis Cabrel, autre Lot et Garonnais afin d’enregistrer un disque qui sortira en mai prochain.

Robert Latxague

Ce soir vendredi 13 janvier concert au Rocher de Palmer, Cenon 20 hH 30

Demain samedi 14 janvier concert à la Scène Nationale du Sud Aquitain, Théâtre de Bayonne

20 H 30

|

Une résidence au Rocher de Palmer à Cenon, deux concerts en Aquitaine puis entrée en studio pour enregistrer son nouvel album. Le saxophoniste Eric Seva change de cap pour son nouveau projet. Direction blues, groove and soul.

Eric Seva (bas, ss), Christophe Cravero (p, elp, org, vlo), Manu Galvin (g), Christophe Wallemme (b, elb), Stéphane Huchard (dm), Harrison Kennedy (voc, hwa, bjo)

Le Rocher de Palmer, Cenon, 13 janvier

Un retour au  blues. Au travers de  son nouveau projet Body and Blues Eric Seva entend passer par les accents et la métrique carrée de ce qu’il revendique comme « la musique source » Ou le blues comme matière artistique d’origine afro américaine décisive de par son pouvoir de narration, récit d’histoires individuelles originales « Savante ou plus souvent autodidacte cette langue universelle que représente désormais le blues possède le pouvoir de toucher, d’interroger, d’interpeler, de partager et de communiquer » Soient les caractéristiques d’une musique populaire aboutie. Seva revendique King Curtis comme son premier modèle de saxophoniste. Dans la lignée de cette sonorité de sax chaude, musclée il fait le pari d’une teneur profondément acoustique de la musique produite « En une période de course à la technologie je joue sur sur ce paradoxe tradition modernité pour conserver cette oralité du son, pour utiliser les variations d’intensité, de texture d’une pédale, j’ai branché une pédale  wah wah sur mon baryton ou mon soprano.

En résidence au Rocher de Palmer, à Cenon près de Bordeaux, l’orchestre dans sa préparation sonne effectivement bluesy, voire soul. Le travail collectif sur des compositions achevées in extremis, les arrangements sous la houlette de Sebastian Danchin (directeur artistique de réalisations discographiques ou spectacles de Mighty Mo Rodgers, Gil Scott-Heron ou récemment Jean Jacques Milteau), les apports de chacun des musicien -traits de guitare tranchantes de Manu Galvin, originalité dans le set de batterie de Stéphane Huchard etc.- donnent une force particulière à un contenu musical très différent du déjà entendu de la part du musicien basé à Marmande. En petite fenêtre d’une répétition de mise en place un court focus sur l’apport particulier du musicien chanteur originaire d’Hamilton (Ontario) Harrison Kennedy, voix élastique et rauque à la fois, s’appuyant sur un relai de banjo ou d’harmonica ne ment pas, ne jure pas en matière de blues ou de soul feeling. Eric Seva a choisi ses équipiers dans cette intention. Lundi prochain toute l’équipe entre en studio à Astaffort, chez Francis Cabrel, autre Lot et Garonnais afin d’enregistrer un disque qui sortira en mai prochain.

Robert Latxague

Ce soir vendredi 13 janvier concert au Rocher de Palmer, Cenon 20 hH 30

Demain samedi 14 janvier concert à la Scène Nationale du Sud Aquitain, Théâtre de Bayonne

20 H 30

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Une résidence au Rocher de Palmer à Cenon, deux concerts en Aquitaine puis entrée en studio pour enregistrer son nouvel album. Le saxophoniste Eric Seva change de cap pour son nouveau projet. Direction blues, groove and soul.

Eric Seva (bas, ss), Christophe Cravero (p, elp, org, vlo), Manu Galvin (g), Christophe Wallemme (b, elb), Stéphane Huchard (dm), Harrison Kennedy (voc, hwa, bjo)

Le Rocher de Palmer, Cenon, 13 janvier

Un retour au  blues. Au travers de  son nouveau projet Body and Blues Eric Seva entend passer par les accents et la métrique carrée de ce qu’il revendique comme « la musique source » Ou le blues comme matière artistique d’origine afro américaine décisive de par son pouvoir de narration, récit d’histoires individuelles originales « Savante ou plus souvent autodidacte cette langue universelle que représente désormais le blues possède le pouvoir de toucher, d’interroger, d’interpeler, de partager et de communiquer » Soient les caractéristiques d’une musique populaire aboutie. Seva revendique King Curtis comme son premier modèle de saxophoniste. Dans la lignée de cette sonorité de sax chaude, musclée il fait le pari d’une teneur profondément acoustique de la musique produite « En une période de course à la technologie je joue sur sur ce paradoxe tradition modernité pour conserver cette oralité du son, pour utiliser les variations d’intensité, de texture d’une pédale, j’ai branché une pédale  wah wah sur mon baryton ou mon soprano.

En résidence au Rocher de Palmer, à Cenon près de Bordeaux, l’orchestre dans sa préparation sonne effectivement bluesy, voire soul. Le travail collectif sur des compositions achevées in extremis, les arrangements sous la houlette de Sebastian Danchin (directeur artistique de réalisations discographiques ou spectacles de Mighty Mo Rodgers, Gil Scott-Heron ou récemment Jean Jacques Milteau), les apports de chacun des musicien -traits de guitare tranchantes de Manu Galvin, originalité dans le set de batterie de Stéphane Huchard etc.- donnent une force particulière à un contenu musical très différent du déjà entendu de la part du musicien basé à Marmande. En petite fenêtre d’une répétition de mise en place un court focus sur l’apport particulier du musicien chanteur originaire d’Hamilton (Ontario) Harrison Kennedy, voix élastique et rauque à la fois, s’appuyant sur un relai de banjo ou d’harmonica ne ment pas, ne jure pas en matière de blues ou de soul feeling. Eric Seva a choisi ses équipiers dans cette intention. Lundi prochain toute l’équipe entre en studio à Astaffort, chez Francis Cabrel, autre Lot et Garonnais afin d’enregistrer un disque qui sortira en mai prochain.

Robert Latxague

Ce soir vendredi 13 janvier concert au Rocher de Palmer, Cenon 20 hH 30

Demain samedi 14 janvier concert à la Scène Nationale du Sud Aquitain, Théâtre de Bayonne

20 H 30

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Une résidence au Rocher de Palmer à Cenon, deux concerts en Aquitaine puis entrée en studio pour enregistrer son nouvel album. Le saxophoniste Eric Seva change de cap pour son nouveau projet. Direction blues, groove and soul.

Eric Seva (bas, ss), Christophe Cravero (p, elp, org, vlo), Manu Galvin (g), Christophe Wallemme (b, elb), Stéphane Huchard (dm), Harrison Kennedy (voc, hwa, bjo)

Le Rocher de Palmer, Cenon, 13 janvier

Un retour au  blues. Au travers de  son nouveau projet Body and Blues Eric Seva entend passer par les accents et la métrique carrée de ce qu’il revendique comme « la musique source » Ou le blues comme matière artistique d’origine afro américaine décisive de par son pouvoir de narration, récit d’histoires individuelles originales « Savante ou plus souvent autodidacte cette langue universelle que représente désormais le blues possède le pouvoir de toucher, d’interroger, d’interpeler, de partager et de communiquer » Soient les caractéristiques d’une musique populaire aboutie. Seva revendique King Curtis comme son premier modèle de saxophoniste. Dans la lignée de cette sonorité de sax chaude, musclée il fait le pari d’une teneur profondément acoustique de la musique produite « En une période de course à la technologie je joue sur sur ce paradoxe tradition modernité pour conserver cette oralité du son, pour utiliser les variations d’intensité, de texture d’une pédale, j’ai branché une pédale  wah wah sur mon baryton ou mon soprano.

En résidence au Rocher de Palmer, à Cenon près de Bordeaux, l’orchestre dans sa préparation sonne effectivement bluesy, voire soul. Le travail collectif sur des compositions achevées in extremis, les arrangements sous la houlette de Sebastian Danchin (directeur artistique de réalisations discographiques ou spectacles de Mighty Mo Rodgers, Gil Scott-Heron ou récemment Jean Jacques Milteau), les apports de chacun des musicien -traits de guitare tranchantes de Manu Galvin, originalité dans le set de batterie de Stéphane Huchard etc.- donnent une force particulière à un contenu musical très différent du déjà entendu de la part du musicien basé à Marmande. En petite fenêtre d’une répétition de mise en place un court focus sur l’apport particulier du musicien chanteur originaire d’Hamilton (Ontario) Harrison Kennedy, voix élastique et rauque à la fois, s’appuyant sur un relai de banjo ou d’harmonica ne ment pas, ne jure pas en matière de blues ou de soul feeling. Eric Seva a choisi ses équipiers dans cette intention. Lundi prochain toute l’équipe entre en studio à Astaffort, chez Francis Cabrel, autre Lot et Garonnais afin d’enregistrer un disque qui sortira en mai prochain.

Robert Latxague

Ce soir vendredi 13 janvier concert au Rocher de Palmer, Cenon 20 hH 30

Demain samedi 14 janvier concert à la Scène Nationale du Sud Aquitain, Théâtre de Bayonne

20 H 30