Jazz live
Publié le 9 Oct 2015

Jazz et Garonne, du 2 au 11 octobre, avec "Jazz Box", Éric Séva trio, JP Como, Samy Thiébault, Daniel Zimmermann, Stéphane Galland

Au fil des jours et des semaines, voire des années, le fil qui me relie aux « Jazz Box », cette exposition interactive qui fait le bonheur de tant se spectateurs depuis trois ans, se détend. Du coup, je me sens autorisé à signaler leur présence. Et d’autant plus cette fois que le département du Lot-et-Garonne a su trouver une façon originale de les faire circuler, depuis Marmande (où elles sont en ce moment) jusque dans des villages plus reculés de la région, puisqu’après le 10 octobre on pourra les voir à Duras (du 2 au 13 novembre), à Meilhan (du 3 au 13 novembre) – sachant alors qu’elles sont divisées en deux groupes, il y en a huit en tout – puis du 17 au 28 novembre à Nérac, avec un apéro-jazz le 28 à 16.00, où je serai présent pour bavarder avec le public, enfin à Pont-du-Casse du 1° décembre au 12 décembre. Là encore, divisées en deux groupes, elles seront présentes aussi à Monflanquin du 2 au 12 décembre, puis à Cancon du 5 au 16 janvier 2016, aussi à Laroque-Timbaut avec une conférence sur « Jazz et Littérature » que j’animerai le 15 janvier à 18.30, sans oublier Aiguillon du 19 au 30 janvier 2016, où elles seront regroupées les huit, avec une exposition sur les affiches du festival d’Aiguillon, de si belle mémoire (1986 – 2005). Bravo les « Jazz Box », qui séduisent jeunes et plus anciens et sensibilisent à la musique de jazz l’air de rien, sous couvert d’un art consommé de la scénographie, celui de Cécile Léna. On sait bien que la meilleure pédagogie est celle qui ne prétend pas l’être ! Une leçon que les directeurs de festivals « AJC » (à part Nevers, et peut-être d’autres à venir) n’ont pas l’air de comprendre, eux qui ont cherché tant d’années une manière d’exposer le jazz pour le rendre sensible, sans parvenir à trouver la formule. Passons.

Simple prélude au festival « Jazz et Garonne », l’exposition a été inaugurée le 3 octobre, et c’est le 7 (soit avant-hier) que les choses dites sérieuses ont commencé, dans le cadre de l’UPOP (Université Populaire de Marmande) : j’y étais invité, premier conférencier d’une série qui se prolongera l’année prochaine, à parler sous le double titre de « Petit Panorama du Jazz d’Aujourd’hui » et « Les sources africaines du jazz, mythe ou réalité ? ». Prévue dans une salle relativement modeste (170 places) la conférence au du se déplacer dans la grande salle du « Comoedia », la nouvelle salle de centre-ville, parce que l’affluence avoisinait les 250 personnes… Un grand plaisir pour le conférencier, de s’adresser à public si nombreux, attentif, désireux de savoir, ou plutôt de se questionner quand on sait que le « conférencier » penche plutôt du côté de la philosophie qui pose des questions plutôt que du savoir qui apporte des réponses. Nous avons pu quand même faire entendre Vincent Peirani et Émile Parisien (Egyptian Fantasy) puis Leyla McCalla (Heart Of Gold »), avant de laisser la place à Éric Séva lui-même, directeur artistique du festival, accompagné par Nolwenn Leizour (b) et Philippe Valentine (dm).

Le trio d'Éric Séva
Philippe Valentine (dm), Nolwenn Leizour (b), Eric Séva (ss, bs)

Bousculés eux aussi par le changement de salle, les trois instrumentistes ont choisi sagement de conserver le ton réservé et intime qu’ils avaient prévu de donner à leur prestation, et on a pu ainsi admirer et apprécier la douceur et la tendresse qu’Eric Séva donne à son jeu, au soprano comme au baryton, ce qui ne l’a pas empêché non plus de faire admirer une technique sans faille, une volubilité sinueuse, bref un talent qu’on lui connait depuis des années. Philippe Valentine inaugurait en quelque sorte une nouvelle batterie rapportée des USA qui a fait l’admiration générale sous ses mains expertes, et Nolwenn Leizour a apporté son swing et sa mise en place, qui en fait l’une des contrebassistes les plus recherchées de la région. Au programme, entre autres, I Mean You et Les Grelots, un thème rarement joué d’Eddy Louiss. Éric Séva, un de ses confrères me le confiait cet été, est non seulement le saxophoniste que l’on sait (un nouveau CD vient juste de sortir), mais un infatigable joueur de chansons du répertoire français, capable de faire danser les gens pendant des heures tellement il connaît de thèmes populaires. Le tout lié à son apprentissage du bal, avec son père, m’a-t’il confié.

Ce soir au « Comoedia » Jean-Pierre Como en quartet, suivi de Samy Thiébault quartet et le Simon Bolivar Big Band Jazz. Demain soir, même lieu « Bone Machine » (Daniel Zimmermann) et le sextet de Stéphane Galland. Renseignements, tarifs, sur le site du festival www.djazzetgaronne.com

Le site de Cécile Léna et des Jazz Box : http://www.lenadazy.fr/#!jazzbox/c1e5x

Philippe Méziat

 

 

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Au fil des jours et des semaines, voire des années, le fil qui me relie aux « Jazz Box », cette exposition interactive qui fait le bonheur de tant se spectateurs depuis trois ans, se détend. Du coup, je me sens autorisé à signaler leur présence. Et d’autant plus cette fois que le département du Lot-et-Garonne a su trouver une façon originale de les faire circuler, depuis Marmande (où elles sont en ce moment) jusque dans des villages plus reculés de la région, puisqu’après le 10 octobre on pourra les voir à Duras (du 2 au 13 novembre), à Meilhan (du 3 au 13 novembre) – sachant alors qu’elles sont divisées en deux groupes, il y en a huit en tout – puis du 17 au 28 novembre à Nérac, avec un apéro-jazz le 28 à 16.00, où je serai présent pour bavarder avec le public, enfin à Pont-du-Casse du 1° décembre au 12 décembre. Là encore, divisées en deux groupes, elles seront présentes aussi à Monflanquin du 2 au 12 décembre, puis à Cancon du 5 au 16 janvier 2016, aussi à Laroque-Timbaut avec une conférence sur « Jazz et Littérature » que j’animerai le 15 janvier à 18.30, sans oublier Aiguillon du 19 au 30 janvier 2016, où elles seront regroupées les huit, avec une exposition sur les affiches du festival d’Aiguillon, de si belle mémoire (1986 – 2005). Bravo les « Jazz Box », qui séduisent jeunes et plus anciens et sensibilisent à la musique de jazz l’air de rien, sous couvert d’un art consommé de la scénographie, celui de Cécile Léna. On sait bien que la meilleure pédagogie est celle qui ne prétend pas l’être ! Une leçon que les directeurs de festivals « AJC » (à part Nevers, et peut-être d’autres à venir) n’ont pas l’air de comprendre, eux qui ont cherché tant d’années une manière d’exposer le jazz pour le rendre sensible, sans parvenir à trouver la formule. Passons.

Simple prélude au festival « Jazz et Garonne », l’exposition a été inaugurée le 3 octobre, et c’est le 7 (soit avant-hier) que les choses dites sérieuses ont commencé, dans le cadre de l’UPOP (Université Populaire de Marmande) : j’y étais invité, premier conférencier d’une série qui se prolongera l’année prochaine, à parler sous le double titre de « Petit Panorama du Jazz d’Aujourd’hui » et « Les sources africaines du jazz, mythe ou réalité ? ». Prévue dans une salle relativement modeste (170 places) la conférence au du se déplacer dans la grande salle du « Comoedia », la nouvelle salle de centre-ville, parce que l’affluence avoisinait les 250 personnes… Un grand plaisir pour le conférencier, de s’adresser à public si nombreux, attentif, désireux de savoir, ou plutôt de se questionner quand on sait que le « conférencier » penche plutôt du côté de la philosophie qui pose des questions plutôt que du savoir qui apporte des réponses. Nous avons pu quand même faire entendre Vincent Peirani et Émile Parisien (Egyptian Fantasy) puis Leyla McCalla (Heart Of Gold »), avant de laisser la place à Éric Séva lui-même, directeur artistique du festival, accompagné par Nolwenn Leizour (b) et Philippe Valentine (dm).

Le trio d'Éric Séva
Philippe Valentine (dm), Nolwenn Leizour (b), Eric Séva (ss, bs)

Bousculés eux aussi par le changement de salle, les trois instrumentistes ont choisi sagement de conserver le ton réservé et intime qu’ils avaient prévu de donner à leur prestation, et on a pu ainsi admirer et apprécier la douceur et la tendresse qu’Eric Séva donne à son jeu, au soprano comme au baryton, ce qui ne l’a pas empêché non plus de faire admirer une technique sans faille, une volubilité sinueuse, bref un talent qu’on lui connait depuis des années. Philippe Valentine inaugurait en quelque sorte une nouvelle batterie rapportée des USA qui a fait l’admiration générale sous ses mains expertes, et Nolwenn Leizour a apporté son swing et sa mise en place, qui en fait l’une des contrebassistes les plus recherchées de la région. Au programme, entre autres, I Mean You et Les Grelots, un thème rarement joué d’Eddy Louiss. Éric Séva, un de ses confrères me le confiait cet été, est non seulement le saxophoniste que l’on sait (un nouveau CD vient juste de sortir), mais un infatigable joueur de chansons du répertoire français, capable de faire danser les gens pendant des heures tellement il connaît de thèmes populaires. Le tout lié à son apprentissage du bal, avec son père, m’a-t’il confié.

Ce soir au « Comoedia » Jean-Pierre Como en quartet, suivi de Samy Thiébault quartet et le Simon Bolivar Big Band Jazz. Demain soir, même lieu « Bone Machine » (Daniel Zimmermann) et le sextet de Stéphane Galland. Renseignements, tarifs, sur le site du festival www.djazzetgaronne.com

Le site de Cécile Léna et des Jazz Box : http://www.lenadazy.fr/#!jazzbox/c1e5x

Philippe Méziat

 

 

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Au fil des jours et des semaines, voire des années, le fil qui me relie aux « Jazz Box », cette exposition interactive qui fait le bonheur de tant se spectateurs depuis trois ans, se détend. Du coup, je me sens autorisé à signaler leur présence. Et d’autant plus cette fois que le département du Lot-et-Garonne a su trouver une façon originale de les faire circuler, depuis Marmande (où elles sont en ce moment) jusque dans des villages plus reculés de la région, puisqu’après le 10 octobre on pourra les voir à Duras (du 2 au 13 novembre), à Meilhan (du 3 au 13 novembre) – sachant alors qu’elles sont divisées en deux groupes, il y en a huit en tout – puis du 17 au 28 novembre à Nérac, avec un apéro-jazz le 28 à 16.00, où je serai présent pour bavarder avec le public, enfin à Pont-du-Casse du 1° décembre au 12 décembre. Là encore, divisées en deux groupes, elles seront présentes aussi à Monflanquin du 2 au 12 décembre, puis à Cancon du 5 au 16 janvier 2016, aussi à Laroque-Timbaut avec une conférence sur « Jazz et Littérature » que j’animerai le 15 janvier à 18.30, sans oublier Aiguillon du 19 au 30 janvier 2016, où elles seront regroupées les huit, avec une exposition sur les affiches du festival d’Aiguillon, de si belle mémoire (1986 – 2005). Bravo les « Jazz Box », qui séduisent jeunes et plus anciens et sensibilisent à la musique de jazz l’air de rien, sous couvert d’un art consommé de la scénographie, celui de Cécile Léna. On sait bien que la meilleure pédagogie est celle qui ne prétend pas l’être ! Une leçon que les directeurs de festivals « AJC » (à part Nevers, et peut-être d’autres à venir) n’ont pas l’air de comprendre, eux qui ont cherché tant d’années une manière d’exposer le jazz pour le rendre sensible, sans parvenir à trouver la formule. Passons.

Simple prélude au festival « Jazz et Garonne », l’exposition a été inaugurée le 3 octobre, et c’est le 7 (soit avant-hier) que les choses dites sérieuses ont commencé, dans le cadre de l’UPOP (Université Populaire de Marmande) : j’y étais invité, premier conférencier d’une série qui se prolongera l’année prochaine, à parler sous le double titre de « Petit Panorama du Jazz d’Aujourd’hui » et « Les sources africaines du jazz, mythe ou réalité ? ». Prévue dans une salle relativement modeste (170 places) la conférence au du se déplacer dans la grande salle du « Comoedia », la nouvelle salle de centre-ville, parce que l’affluence avoisinait les 250 personnes… Un grand plaisir pour le conférencier, de s’adresser à public si nombreux, attentif, désireux de savoir, ou plutôt de se questionner quand on sait que le « conférencier » penche plutôt du côté de la philosophie qui pose des questions plutôt que du savoir qui apporte des réponses. Nous avons pu quand même faire entendre Vincent Peirani et Émile Parisien (Egyptian Fantasy) puis Leyla McCalla (Heart Of Gold »), avant de laisser la place à Éric Séva lui-même, directeur artistique du festival, accompagné par Nolwenn Leizour (b) et Philippe Valentine (dm).

Le trio d'Éric Séva
Philippe Valentine (dm), Nolwenn Leizour (b), Eric Séva (ss, bs)

Bousculés eux aussi par le changement de salle, les trois instrumentistes ont choisi sagement de conserver le ton réservé et intime qu’ils avaient prévu de donner à leur prestation, et on a pu ainsi admirer et apprécier la douceur et la tendresse qu’Eric Séva donne à son jeu, au soprano comme au baryton, ce qui ne l’a pas empêché non plus de faire admirer une technique sans faille, une volubilité sinueuse, bref un talent qu’on lui connait depuis des années. Philippe Valentine inaugurait en quelque sorte une nouvelle batterie rapportée des USA qui a fait l’admiration générale sous ses mains expertes, et Nolwenn Leizour a apporté son swing et sa mise en place, qui en fait l’une des contrebassistes les plus recherchées de la région. Au programme, entre autres, I Mean You et Les Grelots, un thème rarement joué d’Eddy Louiss. Éric Séva, un de ses confrères me le confiait cet été, est non seulement le saxophoniste que l’on sait (un nouveau CD vient juste de sortir), mais un infatigable joueur de chansons du répertoire français, capable de faire danser les gens pendant des heures tellement il connaît de thèmes populaires. Le tout lié à son apprentissage du bal, avec son père, m’a-t’il confié.

Ce soir au « Comoedia » Jean-Pierre Como en quartet, suivi de Samy Thiébault quartet et le Simon Bolivar Big Band Jazz. Demain soir, même lieu « Bone Machine » (Daniel Zimmermann) et le sextet de Stéphane Galland. Renseignements, tarifs, sur le site du festival www.djazzetgaronne.com

Le site de Cécile Léna et des Jazz Box : http://www.lenadazy.fr/#!jazzbox/c1e5x

Philippe Méziat

 

 

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Au fil des jours et des semaines, voire des années, le fil qui me relie aux « Jazz Box », cette exposition interactive qui fait le bonheur de tant se spectateurs depuis trois ans, se détend. Du coup, je me sens autorisé à signaler leur présence. Et d’autant plus cette fois que le département du Lot-et-Garonne a su trouver une façon originale de les faire circuler, depuis Marmande (où elles sont en ce moment) jusque dans des villages plus reculés de la région, puisqu’après le 10 octobre on pourra les voir à Duras (du 2 au 13 novembre), à Meilhan (du 3 au 13 novembre) – sachant alors qu’elles sont divisées en deux groupes, il y en a huit en tout – puis du 17 au 28 novembre à Nérac, avec un apéro-jazz le 28 à 16.00, où je serai présent pour bavarder avec le public, enfin à Pont-du-Casse du 1° décembre au 12 décembre. Là encore, divisées en deux groupes, elles seront présentes aussi à Monflanquin du 2 au 12 décembre, puis à Cancon du 5 au 16 janvier 2016, aussi à Laroque-Timbaut avec une conférence sur « Jazz et Littérature » que j’animerai le 15 janvier à 18.30, sans oublier Aiguillon du 19 au 30 janvier 2016, où elles seront regroupées les huit, avec une exposition sur les affiches du festival d’Aiguillon, de si belle mémoire (1986 – 2005). Bravo les « Jazz Box », qui séduisent jeunes et plus anciens et sensibilisent à la musique de jazz l’air de rien, sous couvert d’un art consommé de la scénographie, celui de Cécile Léna. On sait bien que la meilleure pédagogie est celle qui ne prétend pas l’être ! Une leçon que les directeurs de festivals « AJC » (à part Nevers, et peut-être d’autres à venir) n’ont pas l’air de comprendre, eux qui ont cherché tant d’années une manière d’exposer le jazz pour le rendre sensible, sans parvenir à trouver la formule. Passons.

Simple prélude au festival « Jazz et Garonne », l’exposition a été inaugurée le 3 octobre, et c’est le 7 (soit avant-hier) que les choses dites sérieuses ont commencé, dans le cadre de l’UPOP (Université Populaire de Marmande) : j’y étais invité, premier conférencier d’une série qui se prolongera l’année prochaine, à parler sous le double titre de « Petit Panorama du Jazz d’Aujourd’hui » et « Les sources africaines du jazz, mythe ou réalité ? ». Prévue dans une salle relativement modeste (170 places) la conférence au du se déplacer dans la grande salle du « Comoedia », la nouvelle salle de centre-ville, parce que l’affluence avoisinait les 250 personnes… Un grand plaisir pour le conférencier, de s’adresser à public si nombreux, attentif, désireux de savoir, ou plutôt de se questionner quand on sait que le « conférencier » penche plutôt du côté de la philosophie qui pose des questions plutôt que du savoir qui apporte des réponses. Nous avons pu quand même faire entendre Vincent Peirani et Émile Parisien (Egyptian Fantasy) puis Leyla McCalla (Heart Of Gold »), avant de laisser la place à Éric Séva lui-même, directeur artistique du festival, accompagné par Nolwenn Leizour (b) et Philippe Valentine (dm).

Le trio d'Éric Séva
Philippe Valentine (dm), Nolwenn Leizour (b), Eric Séva (ss, bs)

Bousculés eux aussi par le changement de salle, les trois instrumentistes ont choisi sagement de conserver le ton réservé et intime qu’ils avaient prévu de donner à leur prestation, et on a pu ainsi admirer et apprécier la douceur et la tendresse qu’Eric Séva donne à son jeu, au soprano comme au baryton, ce qui ne l’a pas empêché non plus de faire admirer une technique sans faille, une volubilité sinueuse, bref un talent qu’on lui connait depuis des années. Philippe Valentine inaugurait en quelque sorte une nouvelle batterie rapportée des USA qui a fait l’admiration générale sous ses mains expertes, et Nolwenn Leizour a apporté son swing et sa mise en place, qui en fait l’une des contrebassistes les plus recherchées de la région. Au programme, entre autres, I Mean You et Les Grelots, un thème rarement joué d’Eddy Louiss. Éric Séva, un de ses confrères me le confiait cet été, est non seulement le saxophoniste que l’on sait (un nouveau CD vient juste de sortir), mais un infatigable joueur de chansons du répertoire français, capable de faire danser les gens pendant des heures tellement il connaît de thèmes populaires. Le tout lié à son apprentissage du bal, avec son père, m’a-t’il confié.

Ce soir au « Comoedia » Jean-Pierre Como en quartet, suivi de Samy Thiébault quartet et le Simon Bolivar Big Band Jazz. Demain soir, même lieu « Bone Machine » (Daniel Zimmermann) et le sextet de Stéphane Galland. Renseignements, tarifs, sur le site du festival www.djazzetgaronne.com

Le site de Cécile Léna et des Jazz Box : http://www.lenadazy.fr/#!jazzbox/c1e5x

Philippe Méziat