Jazz live
Publié le 12 Sep 2016

Julien Marga Quartet remporte le 16e trophée du Sunside

Julien MARGA Jazz à Véda HDDepuis 16 ans, le Sunside récompense de jeunes groupes de jazz en devenir. Mercredi dernier, c’est le groupe du guitariste Julien Marga qui a rallié tous les suffrages.

Julien Marga (g), Geoffrey Fiorèse (p), Jordi Cassagne (b), Lucas Vanderputten (dm)

Ce qui a distingué le groupe de Julien Marga des autres groupes en lice pour le trophée du Sunside, c’est le parti pris mélodique des compositions (serendipity, folk song) et des improvisations, un sens de la respiration et de l’espace qu’il est rare de trouver à un âge où l’on accumule plus que l’on ne décante. On sent aussi l’influence ECM dans plusieurs compositions du groupe. Comme guitariste, Julien Marga est le genre de musicien à qui toute notion d’esbrouffe est étrangère. Il a su nouer une complicité originale avec son pianiste. Il est rare de voir ces deux instruments réputés antagonistes dans un tel rapport de complicité. Jamais ils ne se marchent sur les pieds, contribuant à forger un son de groupe finalement assez original. Un autre groupe s’est détaché à l’audition, le trio EYM, très à l’aise dans les rythmes latins et les grooves balkaniques, affichent beaucoup de maturité, avec aussi un goût et un talent pour des compositions plus complexes, plus atmosphériques comme le merveilleux Bengalore. Le batteur de ce groupe Marc Michel, a obtenu le deuxième prix des solistes derrière le saxophoniste Maxime Berton. Delphine Deau, pianiste et compositrice du groupe Nefertiti, a obtenu un prix special du jury.

JF Mondot

|Julien MARGA Jazz à Véda HDDepuis 16 ans, le Sunside récompense de jeunes groupes de jazz en devenir. Mercredi dernier, c’est le groupe du guitariste Julien Marga qui a rallié tous les suffrages.

Julien Marga (g), Geoffrey Fiorèse (p), Jordi Cassagne (b), Lucas Vanderputten (dm)

Ce qui a distingué le groupe de Julien Marga des autres groupes en lice pour le trophée du Sunside, c’est le parti pris mélodique des compositions (serendipity, folk song) et des improvisations, un sens de la respiration et de l’espace qu’il est rare de trouver à un âge où l’on accumule plus que l’on ne décante. On sent aussi l’influence ECM dans plusieurs compositions du groupe. Comme guitariste, Julien Marga est le genre de musicien à qui toute notion d’esbrouffe est étrangère. Il a su nouer une complicité originale avec son pianiste. Il est rare de voir ces deux instruments réputés antagonistes dans un tel rapport de complicité. Jamais ils ne se marchent sur les pieds, contribuant à forger un son de groupe finalement assez original. Un autre groupe s’est détaché à l’audition, le trio EYM, très à l’aise dans les rythmes latins et les grooves balkaniques, affichent beaucoup de maturité, avec aussi un goût et un talent pour des compositions plus complexes, plus atmosphériques comme le merveilleux Bengalore. Le batteur de ce groupe Marc Michel, a obtenu le deuxième prix des solistes derrière le saxophoniste Maxime Berton. Delphine Deau, pianiste et compositrice du groupe Nefertiti, a obtenu un prix special du jury.

JF Mondot

|Julien MARGA Jazz à Véda HDDepuis 16 ans, le Sunside récompense de jeunes groupes de jazz en devenir. Mercredi dernier, c’est le groupe du guitariste Julien Marga qui a rallié tous les suffrages.

Julien Marga (g), Geoffrey Fiorèse (p), Jordi Cassagne (b), Lucas Vanderputten (dm)

Ce qui a distingué le groupe de Julien Marga des autres groupes en lice pour le trophée du Sunside, c’est le parti pris mélodique des compositions (serendipity, folk song) et des improvisations, un sens de la respiration et de l’espace qu’il est rare de trouver à un âge où l’on accumule plus que l’on ne décante. On sent aussi l’influence ECM dans plusieurs compositions du groupe. Comme guitariste, Julien Marga est le genre de musicien à qui toute notion d’esbrouffe est étrangère. Il a su nouer une complicité originale avec son pianiste. Il est rare de voir ces deux instruments réputés antagonistes dans un tel rapport de complicité. Jamais ils ne se marchent sur les pieds, contribuant à forger un son de groupe finalement assez original. Un autre groupe s’est détaché à l’audition, le trio EYM, très à l’aise dans les rythmes latins et les grooves balkaniques, affichent beaucoup de maturité, avec aussi un goût et un talent pour des compositions plus complexes, plus atmosphériques comme le merveilleux Bengalore. Le batteur de ce groupe Marc Michel, a obtenu le deuxième prix des solistes derrière le saxophoniste Maxime Berton. Delphine Deau, pianiste et compositrice du groupe Nefertiti, a obtenu un prix special du jury.

JF Mondot

|Julien MARGA Jazz à Véda HDDepuis 16 ans, le Sunside récompense de jeunes groupes de jazz en devenir. Mercredi dernier, c’est le groupe du guitariste Julien Marga qui a rallié tous les suffrages.

Julien Marga (g), Geoffrey Fiorèse (p), Jordi Cassagne (b), Lucas Vanderputten (dm)

Ce qui a distingué le groupe de Julien Marga des autres groupes en lice pour le trophée du Sunside, c’est le parti pris mélodique des compositions (serendipity, folk song) et des improvisations, un sens de la respiration et de l’espace qu’il est rare de trouver à un âge où l’on accumule plus que l’on ne décante. On sent aussi l’influence ECM dans plusieurs compositions du groupe. Comme guitariste, Julien Marga est le genre de musicien à qui toute notion d’esbrouffe est étrangère. Il a su nouer une complicité originale avec son pianiste. Il est rare de voir ces deux instruments réputés antagonistes dans un tel rapport de complicité. Jamais ils ne se marchent sur les pieds, contribuant à forger un son de groupe finalement assez original. Un autre groupe s’est détaché à l’audition, le trio EYM, très à l’aise dans les rythmes latins et les grooves balkaniques, affichent beaucoup de maturité, avec aussi un goût et un talent pour des compositions plus complexes, plus atmosphériques comme le merveilleux Bengalore. Le batteur de ce groupe Marc Michel, a obtenu le deuxième prix des solistes derrière le saxophoniste Maxime Berton. Delphine Deau, pianiste et compositrice du groupe Nefertiti, a obtenu un prix special du jury.

JF Mondot