Jazz live
Publié le 7 Fév 2016

Sons d'Hiver: Lubat Portal Drake: ça chante, ça enchante, ça déjante

En guise d’introduction, Fabien Barontini pose la situation désenchantée de la salle qui accueille cette soirée de Sons d’Hiver « Le Théâtre de la Cité Internationale se trouve en difficulté dès lors qu’une subvention publique vient de lui être retirée… » De quoi prendre le festival sur un air de blues…

Eve Risser White Desert Orchestra

Eve Risser (direct, compo, p), Sylvaine Hélary (fl), Anthonin Tri-Hoang (as, cl, bcl), Benjamin Dousteyssier (s), Sophie bernardo (bas), Erving Lonning (tp), Fidel Fourneyron (tb), Julien Desprez (g), Fanny Lasfargues (b), Sylvain Darrifourq (dm)Bernard Lubat (p, parc),

Michel Portal (cl, bcl, ss), Hamid Drake (dm)
Sons d’Hiver, Théâtre de la Coté Internationale, janvier 2016

En attendant Hamid Drake et ses résonances blues de natif de Louisiane voici Eve Risser, pianiste mise en orbite par l’ONJ. Elle a composé spécifiquement de longues pièces pour ce tentet. Soit un matériau brut entre actions de pur bruitisme figuratif et thèmes au contraire fort structurés, jouant à la fois sur les deux tableaux en mode thèse antithèse. La musique s’y élabore au coeur d’ondulations successives, sorte de mouvements de houle venue de loin, du large, vagues formées et au final couronnées en leurs sommet de timbres de cuivre, de bois (Antonin Tri Hoang, clarinettes), pigmentées des percussions stridentes (Sylvain Darrfourq toujours aussi imaginatif), ornées enfin des graves d’un basson presque incongru dans un tel décor où le jazz se trouve tiré vers ses extrêmes. On en retire un discours très écrit in fine, bien récité également. Peut-être pourrait on y goûter un zeste de folie instillée, de « désordre sacrément jazzément amoureux » comme se plait à le prêcher Bernard Lubat d’Uzeste au milieu de ses pins et pignes.
Lubat justement, on le retrouve ensuite sur la même scène, engagé dans un trio inédit si n’était un concert estival en prélude dans l’île mare nostrum de Porquerolles. Pianiste paradoxalement un tantinet assagi au départ du set, drivant, harmonisant les jaillissements immédiats de la clarinette basse jetés avec l’eau du bain portalien au beau milieu de toutes les percussions environnantes de l’intrus américain. Jusqu’à ce qu’il quitte son clavier pour frapper à son tour, batteur qu’il reste, et faire régner une polyrythmie fugace autant qu’impromptue sur le ventre d’une poubelle métallique ramassée incognito derrière le rideau de scène. Façon d’imposer quelques mesures de sa définition du « jazz cognitif » à partir de rien ou presque. Pour poursuivre dans l’indéfini, de ce swing pas pré-établi, lorsque Portal souffle ses mélodies venues d’on ne sait trop où, alors porté à trois la musique s’envole. Soudain à l’oreille, c’est gai, léger, c’est comme qui dirait l’autre tout fou. Un verbe conjugué à trois voix sans rime ni raison.
ça chante, ça enchante à fortiori quand ça déjante. Cela vient comme ça, dans l’instant. A prendre ou à laisser. Le jeu ainsi pratiqué, joué -au sens littéral du terme- ne possède pas de label autorisé, d’IGP ou d’AOC du jazz sinon des musiques improvisées. Ni de localisation géographique ou numérique Google Maps pointant sur Chicago, Paris, Bayonne ou même Uzeste. Les notes volent pour et par elles mêmes, les beats pleuvent dru dans le bon sens du moment, en cadence, souvent sur un air de danse. Et de surcroit, oui, ça rigole sur la face des musiciens. En particulier lorsque le pianiste uzestois se risque à partir de trois accords et douze mesures pas mesurées à convoquer le blues au point de faire éclater Hamid Drake de rire et de plaisir. Michel Portal, provoqué sur le même terrain, tire alors de son soprano des sonorités tendues, quasi (naturellement) compressées -expliquant après coup avoir « utilisé un bec plus dur, très puissant »- pour offrir collectivement au final sur ce thème un ressenti tourmenté, effluves d’un pathos inattendu.
En conclusion Bernard Lubat ne peut s’empêcher de reprend son habit de comédien, ses frusques de dérision, sa posture de pure player provoc. Il ressort d’un sac de grande surface quelques marionnettes mécaniques ou électroniques de sa collection histoire de paraphraser par l’absurde les leaders politiques de gauche. Batteur, bateleur, provocateur prônant le jazz de la Sociale en les murs de la Cité Internationale « Sous le binaire ou le ternaire je veux me souvenir que cette année verra la célébration des 80 ans du Front Populaire » Jazz, air de blues, populaire, sons d’hiver, mouvements de houle à défaut de foule à Paris. Certains épisodes festivaliers, sans le dire, font sens.

Robert Latxague

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En guise d’introduction, Fabien Barontini pose la situation désenchantée de la salle qui accueille cette soirée de Sons d’Hiver « Le Théâtre de la Cité Internationale se trouve en difficulté dès lors qu’une subvention publique vient de lui être retirée… » De quoi prendre le festival sur un air de blues…

Eve Risser White Desert Orchestra

Eve Risser (direct, compo, p), Sylvaine Hélary (fl), Anthonin Tri-Hoang (as, cl, bcl), Benjamin Dousteyssier (s), Sophie bernardo (bas), Erving Lonning (tp), Fidel Fourneyron (tb), Julien Desprez (g), Fanny Lasfargues (b), Sylvain Darrifourq (dm)Bernard Lubat (p, parc),

Michel Portal (cl, bcl, ss), Hamid Drake (dm)
Sons d’Hiver, Théâtre de la Coté Internationale, janvier 2016

En attendant Hamid Drake et ses résonances blues de natif de Louisiane voici Eve Risser, pianiste mise en orbite par l’ONJ. Elle a composé spécifiquement de longues pièces pour ce tentet. Soit un matériau brut entre actions de pur bruitisme figuratif et thèmes au contraire fort structurés, jouant à la fois sur les deux tableaux en mode thèse antithèse. La musique s’y élabore au coeur d’ondulations successives, sorte de mouvements de houle venue de loin, du large, vagues formées et au final couronnées en leurs sommet de timbres de cuivre, de bois (Antonin Tri Hoang, clarinettes), pigmentées des percussions stridentes (Sylvain Darrfourq toujours aussi imaginatif), ornées enfin des graves d’un basson presque incongru dans un tel décor où le jazz se trouve tiré vers ses extrêmes. On en retire un discours très écrit in fine, bien récité également. Peut-être pourrait on y goûter un zeste de folie instillée, de « désordre sacrément jazzément amoureux » comme se plait à le prêcher Bernard Lubat d’Uzeste au milieu de ses pins et pignes.
Lubat justement, on le retrouve ensuite sur la même scène, engagé dans un trio inédit si n’était un concert estival en prélude dans l’île mare nostrum de Porquerolles. Pianiste paradoxalement un tantinet assagi au départ du set, drivant, harmonisant les jaillissements immédiats de la clarinette basse jetés avec l’eau du bain portalien au beau milieu de toutes les percussions environnantes de l’intrus américain. Jusqu’à ce qu’il quitte son clavier pour frapper à son tour, batteur qu’il reste, et faire régner une polyrythmie fugace autant qu’impromptue sur le ventre d’une poubelle métallique ramassée incognito derrière le rideau de scène. Façon d’imposer quelques mesures de sa définition du « jazz cognitif » à partir de rien ou presque. Pour poursuivre dans l’indéfini, de ce swing pas pré-établi, lorsque Portal souffle ses mélodies venues d’on ne sait trop où, alors porté à trois la musique s’envole. Soudain à l’oreille, c’est gai, léger, c’est comme qui dirait l’autre tout fou. Un verbe conjugué à trois voix sans rime ni raison.
ça chante, ça enchante à fortiori quand ça déjante. Cela vient comme ça, dans l’instant. A prendre ou à laisser. Le jeu ainsi pratiqué, joué -au sens littéral du terme- ne possède pas de label autorisé, d’IGP ou d’AOC du jazz sinon des musiques improvisées. Ni de localisation géographique ou numérique Google Maps pointant sur Chicago, Paris, Bayonne ou même Uzeste. Les notes volent pour et par elles mêmes, les beats pleuvent dru dans le bon sens du moment, en cadence, souvent sur un air de danse. Et de surcroit, oui, ça rigole sur la face des musiciens. En particulier lorsque le pianiste uzestois se risque à partir de trois accords et douze mesures pas mesurées à convoquer le blues au point de faire éclater Hamid Drake de rire et de plaisir. Michel Portal, provoqué sur le même terrain, tire alors de son soprano des sonorités tendues, quasi (naturellement) compressées -expliquant après coup avoir « utilisé un bec plus dur, très puissant »- pour offrir collectivement au final sur ce thème un ressenti tourmenté, effluves d’un pathos inattendu.
En conclusion Bernard Lubat ne peut s’empêcher de reprend son habit de comédien, ses frusques de dérision, sa posture de pure player provoc. Il ressort d’un sac de grande surface quelques marionnettes mécaniques ou électroniques de sa collection histoire de paraphraser par l’absurde les leaders politiques de gauche. Batteur, bateleur, provocateur prônant le jazz de la Sociale en les murs de la Cité Internationale « Sous le binaire ou le ternaire je veux me souvenir que cette année verra la célébration des 80 ans du Front Populaire » Jazz, air de blues, populaire, sons d’hiver, mouvements de houle à défaut de foule à Paris. Certains épisodes festivaliers, sans le dire, font sens.

Robert Latxague

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En guise d’introduction, Fabien Barontini pose la situation désenchantée de la salle qui accueille cette soirée de Sons d’Hiver « Le Théâtre de la Cité Internationale se trouve en difficulté dès lors qu’une subvention publique vient de lui être retirée… » De quoi prendre le festival sur un air de blues…

Eve Risser White Desert Orchestra

Eve Risser (direct, compo, p), Sylvaine Hélary (fl), Anthonin Tri-Hoang (as, cl, bcl), Benjamin Dousteyssier (s), Sophie bernardo (bas), Erving Lonning (tp), Fidel Fourneyron (tb), Julien Desprez (g), Fanny Lasfargues (b), Sylvain Darrifourq (dm)Bernard Lubat (p, parc),

Michel Portal (cl, bcl, ss), Hamid Drake (dm)
Sons d’Hiver, Théâtre de la Coté Internationale, janvier 2016

En attendant Hamid Drake et ses résonances blues de natif de Louisiane voici Eve Risser, pianiste mise en orbite par l’ONJ. Elle a composé spécifiquement de longues pièces pour ce tentet. Soit un matériau brut entre actions de pur bruitisme figuratif et thèmes au contraire fort structurés, jouant à la fois sur les deux tableaux en mode thèse antithèse. La musique s’y élabore au coeur d’ondulations successives, sorte de mouvements de houle venue de loin, du large, vagues formées et au final couronnées en leurs sommet de timbres de cuivre, de bois (Antonin Tri Hoang, clarinettes), pigmentées des percussions stridentes (Sylvain Darrfourq toujours aussi imaginatif), ornées enfin des graves d’un basson presque incongru dans un tel décor où le jazz se trouve tiré vers ses extrêmes. On en retire un discours très écrit in fine, bien récité également. Peut-être pourrait on y goûter un zeste de folie instillée, de « désordre sacrément jazzément amoureux » comme se plait à le prêcher Bernard Lubat d’Uzeste au milieu de ses pins et pignes.
Lubat justement, on le retrouve ensuite sur la même scène, engagé dans un trio inédit si n’était un concert estival en prélude dans l’île mare nostrum de Porquerolles. Pianiste paradoxalement un tantinet assagi au départ du set, drivant, harmonisant les jaillissements immédiats de la clarinette basse jetés avec l’eau du bain portalien au beau milieu de toutes les percussions environnantes de l’intrus américain. Jusqu’à ce qu’il quitte son clavier pour frapper à son tour, batteur qu’il reste, et faire régner une polyrythmie fugace autant qu’impromptue sur le ventre d’une poubelle métallique ramassée incognito derrière le rideau de scène. Façon d’imposer quelques mesures de sa définition du « jazz cognitif » à partir de rien ou presque. Pour poursuivre dans l’indéfini, de ce swing pas pré-établi, lorsque Portal souffle ses mélodies venues d’on ne sait trop où, alors porté à trois la musique s’envole. Soudain à l’oreille, c’est gai, léger, c’est comme qui dirait l’autre tout fou. Un verbe conjugué à trois voix sans rime ni raison.
ça chante, ça enchante à fortiori quand ça déjante. Cela vient comme ça, dans l’instant. A prendre ou à laisser. Le jeu ainsi pratiqué, joué -au sens littéral du terme- ne possède pas de label autorisé, d’IGP ou d’AOC du jazz sinon des musiques improvisées. Ni de localisation géographique ou numérique Google Maps pointant sur Chicago, Paris, Bayonne ou même Uzeste. Les notes volent pour et par elles mêmes, les beats pleuvent dru dans le bon sens du moment, en cadence, souvent sur un air de danse. Et de surcroit, oui, ça rigole sur la face des musiciens. En particulier lorsque le pianiste uzestois se risque à partir de trois accords et douze mesures pas mesurées à convoquer le blues au point de faire éclater Hamid Drake de rire et de plaisir. Michel Portal, provoqué sur le même terrain, tire alors de son soprano des sonorités tendues, quasi (naturellement) compressées -expliquant après coup avoir « utilisé un bec plus dur, très puissant »- pour offrir collectivement au final sur ce thème un ressenti tourmenté, effluves d’un pathos inattendu.
En conclusion Bernard Lubat ne peut s’empêcher de reprend son habit de comédien, ses frusques de dérision, sa posture de pure player provoc. Il ressort d’un sac de grande surface quelques marionnettes mécaniques ou électroniques de sa collection histoire de paraphraser par l’absurde les leaders politiques de gauche. Batteur, bateleur, provocateur prônant le jazz de la Sociale en les murs de la Cité Internationale « Sous le binaire ou le ternaire je veux me souvenir que cette année verra la célébration des 80 ans du Front Populaire » Jazz, air de blues, populaire, sons d’hiver, mouvements de houle à défaut de foule à Paris. Certains épisodes festivaliers, sans le dire, font sens.

Robert Latxague

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En guise d’introduction, Fabien Barontini pose la situation désenchantée de la salle qui accueille cette soirée de Sons d’Hiver « Le Théâtre de la Cité Internationale se trouve en difficulté dès lors qu’une subvention publique vient de lui être retirée… » De quoi prendre le festival sur un air de blues…

Eve Risser White Desert Orchestra

Eve Risser (direct, compo, p), Sylvaine Hélary (fl), Anthonin Tri-Hoang (as, cl, bcl), Benjamin Dousteyssier (s), Sophie bernardo (bas), Erving Lonning (tp), Fidel Fourneyron (tb), Julien Desprez (g), Fanny Lasfargues (b), Sylvain Darrifourq (dm)Bernard Lubat (p, parc),

Michel Portal (cl, bcl, ss), Hamid Drake (dm)
Sons d’Hiver, Théâtre de la Coté Internationale, janvier 2016

En attendant Hamid Drake et ses résonances blues de natif de Louisiane voici Eve Risser, pianiste mise en orbite par l’ONJ. Elle a composé spécifiquement de longues pièces pour ce tentet. Soit un matériau brut entre actions de pur bruitisme figuratif et thèmes au contraire fort structurés, jouant à la fois sur les deux tableaux en mode thèse antithèse. La musique s’y élabore au coeur d’ondulations successives, sorte de mouvements de houle venue de loin, du large, vagues formées et au final couronnées en leurs sommet de timbres de cuivre, de bois (Antonin Tri Hoang, clarinettes), pigmentées des percussions stridentes (Sylvain Darrfourq toujours aussi imaginatif), ornées enfin des graves d’un basson presque incongru dans un tel décor où le jazz se trouve tiré vers ses extrêmes. On en retire un discours très écrit in fine, bien récité également. Peut-être pourrait on y goûter un zeste de folie instillée, de « désordre sacrément jazzément amoureux » comme se plait à le prêcher Bernard Lubat d’Uzeste au milieu de ses pins et pignes.
Lubat justement, on le retrouve ensuite sur la même scène, engagé dans un trio inédit si n’était un concert estival en prélude dans l’île mare nostrum de Porquerolles. Pianiste paradoxalement un tantinet assagi au départ du set, drivant, harmonisant les jaillissements immédiats de la clarinette basse jetés avec l’eau du bain portalien au beau milieu de toutes les percussions environnantes de l’intrus américain. Jusqu’à ce qu’il quitte son clavier pour frapper à son tour, batteur qu’il reste, et faire régner une polyrythmie fugace autant qu’impromptue sur le ventre d’une poubelle métallique ramassée incognito derrière le rideau de scène. Façon d’imposer quelques mesures de sa définition du « jazz cognitif » à partir de rien ou presque. Pour poursuivre dans l’indéfini, de ce swing pas pré-établi, lorsque Portal souffle ses mélodies venues d’on ne sait trop où, alors porté à trois la musique s’envole. Soudain à l’oreille, c’est gai, léger, c’est comme qui dirait l’autre tout fou. Un verbe conjugué à trois voix sans rime ni raison.
ça chante, ça enchante à fortiori quand ça déjante. Cela vient comme ça, dans l’instant. A prendre ou à laisser. Le jeu ainsi pratiqué, joué -au sens littéral du terme- ne possède pas de label autorisé, d’IGP ou d’AOC du jazz sinon des musiques improvisées. Ni de localisation géographique ou numérique Google Maps pointant sur Chicago, Paris, Bayonne ou même Uzeste. Les notes volent pour et par elles mêmes, les beats pleuvent dru dans le bon sens du moment, en cadence, souvent sur un air de danse. Et de surcroit, oui, ça rigole sur la face des musiciens. En particulier lorsque le pianiste uzestois se risque à partir de trois accords et douze mesures pas mesurées à convoquer le blues au point de faire éclater Hamid Drake de rire et de plaisir. Michel Portal, provoqué sur le même terrain, tire alors de son soprano des sonorités tendues, quasi (naturellement) compressées -expliquant après coup avoir « utilisé un bec plus dur, très puissant »- pour offrir collectivement au final sur ce thème un ressenti tourmenté, effluves d’un pathos inattendu.
En conclusion Bernard Lubat ne peut s’empêcher de reprend son habit de comédien, ses frusques de dérision, sa posture de pure player provoc. Il ressort d’un sac de grande surface quelques marionnettes mécaniques ou électroniques de sa collection histoire de paraphraser par l’absurde les leaders politiques de gauche. Batteur, bateleur, provocateur prônant le jazz de la Sociale en les murs de la Cité Internationale « Sous le binaire ou le ternaire je veux me souvenir que cette année verra la célébration des 80 ans du Front Populaire » Jazz, air de blues, populaire, sons d’hiver, mouvements de houle à défaut de foule à Paris. Certains épisodes festivaliers, sans le dire, font sens.

Robert Latxague