Jazz live
Publié le 28 Oct 2013

Une clé de voûte pour le jazz

Frédéric Mitterand ce matin sur France Culture, invité à propos de son livre La Récréation, défend la salle de concert La Philharmonie en construction au Parc de la Villette et parle de « clé de voûte du système des conservatoires en France ». Rappelons que partout, dans les conservatoires français, on forme des jazzmen promis au chômage et à l’indifférence du monde de la culture. Parlons leur de clé de voûte.

 

On se souvient de la piètre prestation de Frédéric Mitterand au Théâtre du Châtelet pour les 25 ans de l’ONJ, arrivé avec trois quarts de retard, incapable de citer un nom de jazzman autre que celui de Glenn Miller au nom d’un film qu’il réalisa autrefois et que tout le monde a oublié. Il était effectivement important pour le Ministre de rappeler que Mitterand avait aussi été réalisateur. Après quoi il s’était excusé de ne pouvoir rester au concert. Le jazz il connaissait (Glenn Miller et, lors de sa visite à Marciac, Thomas Dutronc), ça suffisait comme ça. Est-ce pour se faire pardonner qu’il reçut plus tard les doléances des jazzmen français à la suite de la fronde emmenée par Laurent Coq ? Il commanda en tout cas un rapport qui lui a été remis. L’a-t-il lu ? A-t-il servi à caler un pied de table ? L’a-t-il emporté avec ses petites affaires au départ de Nicolas Sarkozy ? L’a-t-il remis à Mme Filippetti ? L’a-t-elle laissé choir dans sa corbeille à papier trop occupé à faire l’inventaire des femmes chefs d’orchestre suscptibles de prendre la tête de l’ONJ ? Ces questions résonnent sous la clé de voûte du jazz français désertée par le monde de la culture. Allo, y a quelqu’un ? Franck Bergerot

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Frédéric Mitterand ce matin sur France Culture, invité à propos de son livre La Récréation, défend la salle de concert La Philharmonie en construction au Parc de la Villette et parle de « clé de voûte du système des conservatoires en France ». Rappelons que partout, dans les conservatoires français, on forme des jazzmen promis au chômage et à l’indifférence du monde de la culture. Parlons leur de clé de voûte.

 

On se souvient de la piètre prestation de Frédéric Mitterand au Théâtre du Châtelet pour les 25 ans de l’ONJ, arrivé avec trois quarts de retard, incapable de citer un nom de jazzman autre que celui de Glenn Miller au nom d’un film qu’il réalisa autrefois et que tout le monde a oublié. Il était effectivement important pour le Ministre de rappeler que Mitterand avait aussi été réalisateur. Après quoi il s’était excusé de ne pouvoir rester au concert. Le jazz il connaissait (Glenn Miller et, lors de sa visite à Marciac, Thomas Dutronc), ça suffisait comme ça. Est-ce pour se faire pardonner qu’il reçut plus tard les doléances des jazzmen français à la suite de la fronde emmenée par Laurent Coq ? Il commanda en tout cas un rapport qui lui a été remis. L’a-t-il lu ? A-t-il servi à caler un pied de table ? L’a-t-il emporté avec ses petites affaires au départ de Nicolas Sarkozy ? L’a-t-il remis à Mme Filippetti ? L’a-t-elle laissé choir dans sa corbeille à papier trop occupé à faire l’inventaire des femmes chefs d’orchestre suscptibles de prendre la tête de l’ONJ ? Ces questions résonnent sous la clé de voûte du jazz français désertée par le monde de la culture. Allo, y a quelqu’un ? Franck Bergerot

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Frédéric Mitterand ce matin sur France Culture, invité à propos de son livre La Récréation, défend la salle de concert La Philharmonie en construction au Parc de la Villette et parle de « clé de voûte du système des conservatoires en France ». Rappelons que partout, dans les conservatoires français, on forme des jazzmen promis au chômage et à l’indifférence du monde de la culture. Parlons leur de clé de voûte.

 

On se souvient de la piètre prestation de Frédéric Mitterand au Théâtre du Châtelet pour les 25 ans de l’ONJ, arrivé avec trois quarts de retard, incapable de citer un nom de jazzman autre que celui de Glenn Miller au nom d’un film qu’il réalisa autrefois et que tout le monde a oublié. Il était effectivement important pour le Ministre de rappeler que Mitterand avait aussi été réalisateur. Après quoi il s’était excusé de ne pouvoir rester au concert. Le jazz il connaissait (Glenn Miller et, lors de sa visite à Marciac, Thomas Dutronc), ça suffisait comme ça. Est-ce pour se faire pardonner qu’il reçut plus tard les doléances des jazzmen français à la suite de la fronde emmenée par Laurent Coq ? Il commanda en tout cas un rapport qui lui a été remis. L’a-t-il lu ? A-t-il servi à caler un pied de table ? L’a-t-il emporté avec ses petites affaires au départ de Nicolas Sarkozy ? L’a-t-il remis à Mme Filippetti ? L’a-t-elle laissé choir dans sa corbeille à papier trop occupé à faire l’inventaire des femmes chefs d’orchestre suscptibles de prendre la tête de l’ONJ ? Ces questions résonnent sous la clé de voûte du jazz français désertée par le monde de la culture. Allo, y a quelqu’un ? Franck Bergerot

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Frédéric Mitterand ce matin sur France Culture, invité à propos de son livre La Récréation, défend la salle de concert La Philharmonie en construction au Parc de la Villette et parle de « clé de voûte du système des conservatoires en France ». Rappelons que partout, dans les conservatoires français, on forme des jazzmen promis au chômage et à l’indifférence du monde de la culture. Parlons leur de clé de voûte.

 

On se souvient de la piètre prestation de Frédéric Mitterand au Théâtre du Châtelet pour les 25 ans de l’ONJ, arrivé avec trois quarts de retard, incapable de citer un nom de jazzman autre que celui de Glenn Miller au nom d’un film qu’il réalisa autrefois et que tout le monde a oublié. Il était effectivement important pour le Ministre de rappeler que Mitterand avait aussi été réalisateur. Après quoi il s’était excusé de ne pouvoir rester au concert. Le jazz il connaissait (Glenn Miller et, lors de sa visite à Marciac, Thomas Dutronc), ça suffisait comme ça. Est-ce pour se faire pardonner qu’il reçut plus tard les doléances des jazzmen français à la suite de la fronde emmenée par Laurent Coq ? Il commanda en tout cas un rapport qui lui a été remis. L’a-t-il lu ? A-t-il servi à caler un pied de table ? L’a-t-il emporté avec ses petites affaires au départ de Nicolas Sarkozy ? L’a-t-il remis à Mme Filippetti ? L’a-t-elle laissé choir dans sa corbeille à papier trop occupé à faire l’inventaire des femmes chefs d’orchestre suscptibles de prendre la tête de l’ONJ ? Ces questions résonnent sous la clé de voûte du jazz français désertée par le monde de la culture. Allo, y a quelqu’un ? Franck Bergerot