Jazz live
Publié le 25 Avr 2014

Une journée de franche musique avec Michel Portal

Il tape de ses dix doigts et des paumes de ses deux mains un peu partout sur la structure boisée du piano, pieds, cadre du clavier, montants et table. Sur la polyrythmie quelque peu sauvage ainsi créée peu à peu de bois et de métal  Portal lance ses premières notes graves. La clarinette basse épouse les coups de mains aléatoires de Bojan Z. Il faudra bien deux minutes au moins pour que résonnent enfin les premiers accords de piano. C’est Lubat, orfèvre en la matière qui le dit en connaissance de cause « Michel Portal a toujours su s’appuyer sur les talents de rythmicien de ses compères musiciens » Oui, à l’évicence les rythmes se trouvent toujours placés au cœur de chauffe de sa musique.de bailador.

Michel Portal (cl), Henri Demarquette (p), Michel Dalberto (cello)

Michel Portal (cl b), Sylvain Luc (g)

Michel Portal (cl b, ss), Franck Levaillant, Edward Perraud (dm)

Michel Portal (cl b, ss, as), Bojan z (el p, p), Fabrice Martinez (tp)

Michel Portal (cl, cl b, ss), Bojan Z (el p,p), Bruno Chevillon (b), Franck Agulhon (dm)

France Musique, Studio 106, Maison de la Radio, Paris, 24 avril

 

Huit heures du matin jusqu’ à vingt heures le soir à la radio: Portal aura passé une journée peuplée de mots, de notes et de phrases (verbales ou  musicales). Une journée dans la musique ou LES musiques plutôt, ce pluriel inclassable qui lui colle si bien à la peau. Une journée Michel Portal sur France Musique, quoi de plus naturel en somme ? Au final pour deux heures de concerts à construire il avait eu cette formule «Je veux inviter mes amis musiciens » Pour célébrer l’évènement, Alex Duthil qui de cette journée à la radio en fut l’anchorman, précisa au micro que « Michel dans son choix avait souhaité  plutôt regarder vers l’avenir que dans le rétroviseur» En clair partager l’instant avec plutôt de jeunes musiciens façon quadras ou presque. Au programme : Beethoven, Piazzola, Marcus Miller aussi (lequel de passage à Paris ce même jour, apprenant que Michel Portal avait joué Los Feliz, un thème écrit pour Miles Davis, se déclara « honoré qu’un tel musicien utilise une de mes compositions ») et nombre d’extraits de Bailador, son dernier disque en date. Avec en bonus beaucoup, beaucoup d’improvisations. Un tel kaléidoscope correspond bien aux aventures musicales du personnage central. Le musicien bayonnais qui se sait inclassable touche à toutes les matières d’instrument, bois, cuivres et soufflets -pour le bandonéon qui le caractérise si bien. Au studio 106 de la Maison de la Radio on aura retenu des secondes, des minutes, des moments d’intensité. Pour commencer la tenue sinon la retenue sur les mouvements de Beethoven, clarinette amadouée et comme scellée dans les sillons feutrés du violoncelle et du piano. La clarinette, basse celle là comme explosée sans ménagement dans le fracas des batteries gémellisées par Vaillant et Perraud. La danse rituelle, mystérieuse et magique sous les assauts de Sylvain Luc, soit les drôles de sortilèges du zortziko basque conjugués par clarinette basse et guitare en autant de temps impairs. Ce guitariste, bayonnais lui aussi, en voilà bien un, tiens, de ses incroyables rythmiciens artistes apte à faire tomber le masque du Portal parfait danseur de corde nietzschéen Avec Bojan Z la complicité est inscrite au fronton de leurs nombreux terrains de jeu. Bojan est à Portal ce que Marcus (Miller)était à Miles, un grand ordonnateur.de musiques à (j)ouir. En duo ou quartet avec le soutien toutes assurances données de Bruno Chevillon et Franck Agulhon, roulent ainsi Cuba si Cuba no ou Citrus Juice (de M. Eddy Louiss, autre fou de rythmiques asymétriques ou pas, qu’importe) Et puis en direct, le musicien d’expérience qui n’est pas vraiment de la génération Facebook ne se découvre pas moins un nouvel ami, le trompettiste tout temps (récemment intégré à l’ONJ) Fabrice Martinez. De quoi redonner une nouvelle vie à Dolce, autre perle cachée dans Bailador (Universal Jazz)

Au final au bout de tant de souffles et d’émotions livrés au public et autres auditeurs derrière leurs postes, Michel Portal avait la gorge nouée. Il fut un temps où il se plut à crier à force de descendre dans l’arêne « Dejar me solo » Aujourd’hui, à l’âge de raison, il a choisi de faire partager ses inspiration musicales, ce que Garcia Lorca résumait sous le « fascinant jeu du duende » France Musique, une journée durant en a porté témoignage. Merci le service public ! Et que Portal continue son chemin, évidemment.

Robert Latxague

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Il tape de ses dix doigts et des paumes de ses deux mains un peu partout sur la structure boisée du piano, pieds, cadre du clavier, montants et table. Sur la polyrythmie quelque peu sauvage ainsi créée peu à peu de bois et de métal  Portal lance ses premières notes graves. La clarinette basse épouse les coups de mains aléatoires de Bojan Z. Il faudra bien deux minutes au moins pour que résonnent enfin les premiers accords de piano. C’est Lubat, orfèvre en la matière qui le dit en connaissance de cause « Michel Portal a toujours su s’appuyer sur les talents de rythmicien de ses compères musiciens » Oui, à l’évicence les rythmes se trouvent toujours placés au cœur de chauffe de sa musique.de bailador.

Michel Portal (cl), Henri Demarquette (p), Michel Dalberto (cello)

Michel Portal (cl b), Sylvain Luc (g)

Michel Portal (cl b, ss), Franck Levaillant, Edward Perraud (dm)

Michel Portal (cl b, ss, as), Bojan z (el p, p), Fabrice Martinez (tp)

Michel Portal (cl, cl b, ss), Bojan Z (el p,p), Bruno Chevillon (b), Franck Agulhon (dm)

France Musique, Studio 106, Maison de la Radio, Paris, 24 avril

 

Huit heures du matin jusqu’ à vingt heures le soir à la radio: Portal aura passé une journée peuplée de mots, de notes et de phrases (verbales ou  musicales). Une journée dans la musique ou LES musiques plutôt, ce pluriel inclassable qui lui colle si bien à la peau. Une journée Michel Portal sur France Musique, quoi de plus naturel en somme ? Au final pour deux heures de concerts à construire il avait eu cette formule «Je veux inviter mes amis musiciens » Pour célébrer l’évènement, Alex Duthil qui de cette journée à la radio en fut l’anchorman, précisa au micro que « Michel dans son choix avait souhaité  plutôt regarder vers l’avenir que dans le rétroviseur» En clair partager l’instant avec plutôt de jeunes musiciens façon quadras ou presque. Au programme : Beethoven, Piazzola, Marcus Miller aussi (lequel de passage à Paris ce même jour, apprenant que Michel Portal avait joué Los Feliz, un thème écrit pour Miles Davis, se déclara « honoré qu’un tel musicien utilise une de mes compositions ») et nombre d’extraits de Bailador, son dernier disque en date. Avec en bonus beaucoup, beaucoup d’improvisations. Un tel kaléidoscope correspond bien aux aventures musicales du personnage central. Le musicien bayonnais qui se sait inclassable touche à toutes les matières d’instrument, bois, cuivres et soufflets -pour le bandonéon qui le caractérise si bien. Au studio 106 de la Maison de la Radio on aura retenu des secondes, des minutes, des moments d’intensité. Pour commencer la tenue sinon la retenue sur les mouvements de Beethoven, clarinette amadouée et comme scellée dans les sillons feutrés du violoncelle et du piano. La clarinette, basse celle là comme explosée sans ménagement dans le fracas des batteries gémellisées par Vaillant et Perraud. La danse rituelle, mystérieuse et magique sous les assauts de Sylvain Luc, soit les drôles de sortilèges du zortziko basque conjugués par clarinette basse et guitare en autant de temps impairs. Ce guitariste, bayonnais lui aussi, en voilà bien un, tiens, de ses incroyables rythmiciens artistes apte à faire tomber le masque du Portal parfait danseur de corde nietzschéen Avec Bojan Z la complicité est inscrite au fronton de leurs nombreux terrains de jeu. Bojan est à Portal ce que Marcus (Miller)était à Miles, un grand ordonnateur.de musiques à (j)ouir. En duo ou quartet avec le soutien toutes assurances données de Bruno Chevillon et Franck Agulhon, roulent ainsi Cuba si Cuba no ou Citrus Juice (de M. Eddy Louiss, autre fou de rythmiques asymétriques ou pas, qu’importe) Et puis en direct, le musicien d’expérience qui n’est pas vraiment de la génération Facebook ne se découvre pas moins un nouvel ami, le trompettiste tout temps (récemment intégré à l’ONJ) Fabrice Martinez. De quoi redonner une nouvelle vie à Dolce, autre perle cachée dans Bailador (Universal Jazz)

Au final au bout de tant de souffles et d’émotions livrés au public et autres auditeurs derrière leurs postes, Michel Portal avait la gorge nouée. Il fut un temps où il se plut à crier à force de descendre dans l’arêne « Dejar me solo » Aujourd’hui, à l’âge de raison, il a choisi de faire partager ses inspiration musicales, ce que Garcia Lorca résumait sous le « fascinant jeu du duende » France Musique, une journée durant en a porté témoignage. Merci le service public ! Et que Portal continue son chemin, évidemment.

Robert Latxague

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Il tape de ses dix doigts et des paumes de ses deux mains un peu partout sur la structure boisée du piano, pieds, cadre du clavier, montants et table. Sur la polyrythmie quelque peu sauvage ainsi créée peu à peu de bois et de métal  Portal lance ses premières notes graves. La clarinette basse épouse les coups de mains aléatoires de Bojan Z. Il faudra bien deux minutes au moins pour que résonnent enfin les premiers accords de piano. C’est Lubat, orfèvre en la matière qui le dit en connaissance de cause « Michel Portal a toujours su s’appuyer sur les talents de rythmicien de ses compères musiciens » Oui, à l’évicence les rythmes se trouvent toujours placés au cœur de chauffe de sa musique.de bailador.

Michel Portal (cl), Henri Demarquette (p), Michel Dalberto (cello)

Michel Portal (cl b), Sylvain Luc (g)

Michel Portal (cl b, ss), Franck Levaillant, Edward Perraud (dm)

Michel Portal (cl b, ss, as), Bojan z (el p, p), Fabrice Martinez (tp)

Michel Portal (cl, cl b, ss), Bojan Z (el p,p), Bruno Chevillon (b), Franck Agulhon (dm)

France Musique, Studio 106, Maison de la Radio, Paris, 24 avril

 

Huit heures du matin jusqu’ à vingt heures le soir à la radio: Portal aura passé une journée peuplée de mots, de notes et de phrases (verbales ou  musicales). Une journée dans la musique ou LES musiques plutôt, ce pluriel inclassable qui lui colle si bien à la peau. Une journée Michel Portal sur France Musique, quoi de plus naturel en somme ? Au final pour deux heures de concerts à construire il avait eu cette formule «Je veux inviter mes amis musiciens » Pour célébrer l’évènement, Alex Duthil qui de cette journée à la radio en fut l’anchorman, précisa au micro que « Michel dans son choix avait souhaité  plutôt regarder vers l’avenir que dans le rétroviseur» En clair partager l’instant avec plutôt de jeunes musiciens façon quadras ou presque. Au programme : Beethoven, Piazzola, Marcus Miller aussi (lequel de passage à Paris ce même jour, apprenant que Michel Portal avait joué Los Feliz, un thème écrit pour Miles Davis, se déclara « honoré qu’un tel musicien utilise une de mes compositions ») et nombre d’extraits de Bailador, son dernier disque en date. Avec en bonus beaucoup, beaucoup d’improvisations. Un tel kaléidoscope correspond bien aux aventures musicales du personnage central. Le musicien bayonnais qui se sait inclassable touche à toutes les matières d’instrument, bois, cuivres et soufflets -pour le bandonéon qui le caractérise si bien. Au studio 106 de la Maison de la Radio on aura retenu des secondes, des minutes, des moments d’intensité. Pour commencer la tenue sinon la retenue sur les mouvements de Beethoven, clarinette amadouée et comme scellée dans les sillons feutrés du violoncelle et du piano. La clarinette, basse celle là comme explosée sans ménagement dans le fracas des batteries gémellisées par Vaillant et Perraud. La danse rituelle, mystérieuse et magique sous les assauts de Sylvain Luc, soit les drôles de sortilèges du zortziko basque conjugués par clarinette basse et guitare en autant de temps impairs. Ce guitariste, bayonnais lui aussi, en voilà bien un, tiens, de ses incroyables rythmiciens artistes apte à faire tomber le masque du Portal parfait danseur de corde nietzschéen Avec Bojan Z la complicité est inscrite au fronton de leurs nombreux terrains de jeu. Bojan est à Portal ce que Marcus (Miller)était à Miles, un grand ordonnateur.de musiques à (j)ouir. En duo ou quartet avec le soutien toutes assurances données de Bruno Chevillon et Franck Agulhon, roulent ainsi Cuba si Cuba no ou Citrus Juice (de M. Eddy Louiss, autre fou de rythmiques asymétriques ou pas, qu’importe) Et puis en direct, le musicien d’expérience qui n’est pas vraiment de la génération Facebook ne se découvre pas moins un nouvel ami, le trompettiste tout temps (récemment intégré à l’ONJ) Fabrice Martinez. De quoi redonner une nouvelle vie à Dolce, autre perle cachée dans Bailador (Universal Jazz)

Au final au bout de tant de souffles et d’émotions livrés au public et autres auditeurs derrière leurs postes, Michel Portal avait la gorge nouée. Il fut un temps où il se plut à crier à force de descendre dans l’arêne « Dejar me solo » Aujourd’hui, à l’âge de raison, il a choisi de faire partager ses inspiration musicales, ce que Garcia Lorca résumait sous le « fascinant jeu du duende » France Musique, une journée durant en a porté témoignage. Merci le service public ! Et que Portal continue son chemin, évidemment.

Robert Latxague

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Il tape de ses dix doigts et des paumes de ses deux mains un peu partout sur la structure boisée du piano, pieds, cadre du clavier, montants et table. Sur la polyrythmie quelque peu sauvage ainsi créée peu à peu de bois et de métal  Portal lance ses premières notes graves. La clarinette basse épouse les coups de mains aléatoires de Bojan Z. Il faudra bien deux minutes au moins pour que résonnent enfin les premiers accords de piano. C’est Lubat, orfèvre en la matière qui le dit en connaissance de cause « Michel Portal a toujours su s’appuyer sur les talents de rythmicien de ses compères musiciens » Oui, à l’évicence les rythmes se trouvent toujours placés au cœur de chauffe de sa musique.de bailador.

Michel Portal (cl), Henri Demarquette (p), Michel Dalberto (cello)

Michel Portal (cl b), Sylvain Luc (g)

Michel Portal (cl b, ss), Franck Levaillant, Edward Perraud (dm)

Michel Portal (cl b, ss, as), Bojan z (el p, p), Fabrice Martinez (tp)

Michel Portal (cl, cl b, ss), Bojan Z (el p,p), Bruno Chevillon (b), Franck Agulhon (dm)

France Musique, Studio 106, Maison de la Radio, Paris, 24 avril

 

Huit heures du matin jusqu’ à vingt heures le soir à la radio: Portal aura passé une journée peuplée de mots, de notes et de phrases (verbales ou  musicales). Une journée dans la musique ou LES musiques plutôt, ce pluriel inclassable qui lui colle si bien à la peau. Une journée Michel Portal sur France Musique, quoi de plus naturel en somme ? Au final pour deux heures de concerts à construire il avait eu cette formule «Je veux inviter mes amis musiciens » Pour célébrer l’évènement, Alex Duthil qui de cette journée à la radio en fut l’anchorman, précisa au micro que « Michel dans son choix avait souhaité  plutôt regarder vers l’avenir que dans le rétroviseur» En clair partager l’instant avec plutôt de jeunes musiciens façon quadras ou presque. Au programme : Beethoven, Piazzola, Marcus Miller aussi (lequel de passage à Paris ce même jour, apprenant que Michel Portal avait joué Los Feliz, un thème écrit pour Miles Davis, se déclara « honoré qu’un tel musicien utilise une de mes compositions ») et nombre d’extraits de Bailador, son dernier disque en date. Avec en bonus beaucoup, beaucoup d’improvisations. Un tel kaléidoscope correspond bien aux aventures musicales du personnage central. Le musicien bayonnais qui se sait inclassable touche à toutes les matières d’instrument, bois, cuivres et soufflets -pour le bandonéon qui le caractérise si bien. Au studio 106 de la Maison de la Radio on aura retenu des secondes, des minutes, des moments d’intensité. Pour commencer la tenue sinon la retenue sur les mouvements de Beethoven, clarinette amadouée et comme scellée dans les sillons feutrés du violoncelle et du piano. La clarinette, basse celle là comme explosée sans ménagement dans le fracas des batteries gémellisées par Vaillant et Perraud. La danse rituelle, mystérieuse et magique sous les assauts de Sylvain Luc, soit les drôles de sortilèges du zortziko basque conjugués par clarinette basse et guitare en autant de temps impairs. Ce guitariste, bayonnais lui aussi, en voilà bien un, tiens, de ses incroyables rythmiciens artistes apte à faire tomber le masque du Portal parfait danseur de corde nietzschéen Avec Bojan Z la complicité est inscrite au fronton de leurs nombreux terrains de jeu. Bojan est à Portal ce que Marcus (Miller)était à Miles, un grand ordonnateur.de musiques à (j)ouir. En duo ou quartet avec le soutien toutes assurances données de Bruno Chevillon et Franck Agulhon, roulent ainsi Cuba si Cuba no ou Citrus Juice (de M. Eddy Louiss, autre fou de rythmiques asymétriques ou pas, qu’importe) Et puis en direct, le musicien d’expérience qui n’est pas vraiment de la génération Facebook ne se découvre pas moins un nouvel ami, le trompettiste tout temps (récemment intégré à l’ONJ) Fabrice Martinez. De quoi redonner une nouvelle vie à Dolce, autre perle cachée dans Bailador (Universal Jazz)

Au final au bout de tant de souffles et d’émotions livrés au public et autres auditeurs derrière leurs postes, Michel Portal avait la gorge nouée. Il fut un temps où il se plut à crier à force de descendre dans l’arêne « Dejar me solo » Aujourd’hui, à l’âge de raison, il a choisi de faire partager ses inspiration musicales, ce que Garcia Lorca résumait sous le « fascinant jeu du duende » France Musique, une journée durant en a porté témoignage. Merci le service public ! Et que Portal continue son chemin, évidemment.

Robert Latxague