Jazz live
Publié le 30 Mar 2017

William Parker Organ Quartet à La Dynamo de Banlieues Bleues le Mardi 28 mars

Mardi denier, 28 mars, dans le cadre de la 34ème édition du Festival Banlieues, la Dynamo recevait la nouvelle version actualisée de l’Organ Quartet du redoutable contrebassiste américain William Parker.

L’élégance baroque de l’homme-contrebasse était comme d’habitude remarquable : pantalon bouffant à carreaux noirs et blancs, sarreau de toile impeccable et l’indispensable bonnet de laine à bords roulés décorés de pastilles multicolores.

Pour réactiver ce projet vieux de sept ans, William Parker a constitué un véritable carré magique : l’historique Cooper-Moore qui avait troqué son orgue Hammond pour un rutilant clavier électrique rouge, Hamid Drake, son éternel complice de rythmique, dans le rôle de tambour-majeur et un nouveau venu dans la galaxie parkerienne, le jeune et puissant saxophoniste ténor, James Brandon Lewis.

Cette superbe dream team a enchaîné une musique convaincante, sauvage et belle. Stimulés par la meilleure paire rythmique du jazz libertaire américain, Cooper-Moore fait sonner son clavier comme un orgue avec un diabolique  toucher percussif. Il utilise ses doigts agiles, ses poings fermés ou le tranchant de ses mains à la manière d’un Don Pullen survolté. Avec de tels compagnons d’aventures, le benjamin, James Brandon Lewis, aligne de magnifiques chorus rageurs pleins de spiritualité. Il en trépigne de joie! La fascinante batterie volcanique d’Hamid Drake excite et relance  en permanence l’imagination fertile de ses partenaires. La basse terrienne du leader est comme toujours un solide point d’ancrage qui distille un groove énergique.

Un peu plus d’une heure de Great Black Music de haut niveau. Je ne remercierai jamais assez les festivals franciliens Sons d’Hiver et Banlieues Bleues qui nous permettent de vivre de tels moments d’émotion jazzistiques.

Paul Jaillet

 |Mardi denier, 28 mars, dans le cadre de la 34ème édition du Festival Banlieues, la Dynamo recevait la nouvelle version actualisée de l’Organ Quartet du redoutable contrebassiste américain William Parker.

L’élégance baroque de l’homme-contrebasse était comme d’habitude remarquable : pantalon bouffant à carreaux noirs et blancs, sarreau de toile impeccable et l’indispensable bonnet de laine à bords roulés décorés de pastilles multicolores.

Pour réactiver ce projet vieux de sept ans, William Parker a constitué un véritable carré magique : l’historique Cooper-Moore qui avait troqué son orgue Hammond pour un rutilant clavier électrique rouge, Hamid Drake, son éternel complice de rythmique, dans le rôle de tambour-majeur et un nouveau venu dans la galaxie parkerienne, le jeune et puissant saxophoniste ténor, James Brandon Lewis.

Cette superbe dream team a enchaîné une musique convaincante, sauvage et belle. Stimulés par la meilleure paire rythmique du jazz libertaire américain, Cooper-Moore fait sonner son clavier comme un orgue avec un diabolique  toucher percussif. Il utilise ses doigts agiles, ses poings fermés ou le tranchant de ses mains à la manière d’un Don Pullen survolté. Avec de tels compagnons d’aventures, le benjamin, James Brandon Lewis, aligne de magnifiques chorus rageurs pleins de spiritualité. Il en trépigne de joie! La fascinante batterie volcanique d’Hamid Drake excite et relance  en permanence l’imagination fertile de ses partenaires. La basse terrienne du leader est comme toujours un solide point d’ancrage qui distille un groove énergique.

Un peu plus d’une heure de Great Black Music de haut niveau. Je ne remercierai jamais assez les festivals franciliens Sons d’Hiver et Banlieues Bleues qui nous permettent de vivre de tels moments d’émotion jazzistiques.

Paul Jaillet

 |Mardi denier, 28 mars, dans le cadre de la 34ème édition du Festival Banlieues, la Dynamo recevait la nouvelle version actualisée de l’Organ Quartet du redoutable contrebassiste américain William Parker.

L’élégance baroque de l’homme-contrebasse était comme d’habitude remarquable : pantalon bouffant à carreaux noirs et blancs, sarreau de toile impeccable et l’indispensable bonnet de laine à bords roulés décorés de pastilles multicolores.

Pour réactiver ce projet vieux de sept ans, William Parker a constitué un véritable carré magique : l’historique Cooper-Moore qui avait troqué son orgue Hammond pour un rutilant clavier électrique rouge, Hamid Drake, son éternel complice de rythmique, dans le rôle de tambour-majeur et un nouveau venu dans la galaxie parkerienne, le jeune et puissant saxophoniste ténor, James Brandon Lewis.

Cette superbe dream team a enchaîné une musique convaincante, sauvage et belle. Stimulés par la meilleure paire rythmique du jazz libertaire américain, Cooper-Moore fait sonner son clavier comme un orgue avec un diabolique  toucher percussif. Il utilise ses doigts agiles, ses poings fermés ou le tranchant de ses mains à la manière d’un Don Pullen survolté. Avec de tels compagnons d’aventures, le benjamin, James Brandon Lewis, aligne de magnifiques chorus rageurs pleins de spiritualité. Il en trépigne de joie! La fascinante batterie volcanique d’Hamid Drake excite et relance  en permanence l’imagination fertile de ses partenaires. La basse terrienne du leader est comme toujours un solide point d’ancrage qui distille un groove énergique.

Un peu plus d’une heure de Great Black Music de haut niveau. Je ne remercierai jamais assez les festivals franciliens Sons d’Hiver et Banlieues Bleues qui nous permettent de vivre de tels moments d’émotion jazzistiques.

Paul Jaillet

 |Mardi denier, 28 mars, dans le cadre de la 34ème édition du Festival Banlieues, la Dynamo recevait la nouvelle version actualisée de l’Organ Quartet du redoutable contrebassiste américain William Parker.

L’élégance baroque de l’homme-contrebasse était comme d’habitude remarquable : pantalon bouffant à carreaux noirs et blancs, sarreau de toile impeccable et l’indispensable bonnet de laine à bords roulés décorés de pastilles multicolores.

Pour réactiver ce projet vieux de sept ans, William Parker a constitué un véritable carré magique : l’historique Cooper-Moore qui avait troqué son orgue Hammond pour un rutilant clavier électrique rouge, Hamid Drake, son éternel complice de rythmique, dans le rôle de tambour-majeur et un nouveau venu dans la galaxie parkerienne, le jeune et puissant saxophoniste ténor, James Brandon Lewis.

Cette superbe dream team a enchaîné une musique convaincante, sauvage et belle. Stimulés par la meilleure paire rythmique du jazz libertaire américain, Cooper-Moore fait sonner son clavier comme un orgue avec un diabolique  toucher percussif. Il utilise ses doigts agiles, ses poings fermés ou le tranchant de ses mains à la manière d’un Don Pullen survolté. Avec de tels compagnons d’aventures, le benjamin, James Brandon Lewis, aligne de magnifiques chorus rageurs pleins de spiritualité. Il en trépigne de joie! La fascinante batterie volcanique d’Hamid Drake excite et relance  en permanence l’imagination fertile de ses partenaires. La basse terrienne du leader est comme toujours un solide point d’ancrage qui distille un groove énergique.

Un peu plus d’une heure de Great Black Music de haut niveau. Je ne remercierai jamais assez les festivals franciliens Sons d’Hiver et Banlieues Bleues qui nous permettent de vivre de tels moments d’émotion jazzistiques.

Paul Jaillet