Jazz live
Publié le 23 Mai 2012

JAZZ IN ARLES (2) : Paul Lay Trio

Paul Lay (prononcez l’ail, et non pas lait, contrairement à son quasi homonyme également Paul Bley, pas sans rapport d’ailleurs), nous l’avons découvert à Tulle cet hiver, à l’occasion du festival « Du Bleu en hiver », où il accompagnait Géraldine Laurent. Excellemment, comme nous l’avons écrit sur ce même site.


Son trio (avec Simon Tailleu, contrebasse et Elie Duris, batterie) est une jeune formation aux arêtes déjà solides, et à l’avenir prometteur. Basé sur des compositions personnelles, le répertoire fait place aussi à des standards comme Thelonious (de Monk évidemment), interprété avec une belle vigueur, ou Someone To Watch Over Me que Paul Lay joue seul en respectant la lettre et l’esprit de ce beau thème rêveur. Privilégiant une approche physique de l’instrument, peu enclin à des confidences mélancoliques, doté cependant d’un toucher aux couleurs variées, Paul Lay évoque tour à tour un certain McCoy Tyner, mais aussi dans des pièces plus carrément proches du « stride » des pianistes comme Jaki Byard, sans que d’autres grands modèles soient absents évidemment. Venu en nombre – sans atteindre bien sûr les niveaux exceptionnels de la veille – le public a fait bel accueil à la musique du trio, où Simon Tailleu et Elie Duris jouent leur partie avec précision et un joli sens des nuances. Ce soir le Tarkovsky Quartet, avec François Couturier (p), Anja Lechner (cello), Jean-Marc Larcher (ss) et Jean-Louis Matinier (accordéon). 


Philippe Méziat

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Paul Lay (prononcez l’ail, et non pas lait, contrairement à son quasi homonyme également Paul Bley, pas sans rapport d’ailleurs), nous l’avons découvert à Tulle cet hiver, à l’occasion du festival « Du Bleu en hiver », où il accompagnait Géraldine Laurent. Excellemment, comme nous l’avons écrit sur ce même site.


Son trio (avec Simon Tailleu, contrebasse et Elie Duris, batterie) est une jeune formation aux arêtes déjà solides, et à l’avenir prometteur. Basé sur des compositions personnelles, le répertoire fait place aussi à des standards comme Thelonious (de Monk évidemment), interprété avec une belle vigueur, ou Someone To Watch Over Me que Paul Lay joue seul en respectant la lettre et l’esprit de ce beau thème rêveur. Privilégiant une approche physique de l’instrument, peu enclin à des confidences mélancoliques, doté cependant d’un toucher aux couleurs variées, Paul Lay évoque tour à tour un certain McCoy Tyner, mais aussi dans des pièces plus carrément proches du « stride » des pianistes comme Jaki Byard, sans que d’autres grands modèles soient absents évidemment. Venu en nombre – sans atteindre bien sûr les niveaux exceptionnels de la veille – le public a fait bel accueil à la musique du trio, où Simon Tailleu et Elie Duris jouent leur partie avec précision et un joli sens des nuances. Ce soir le Tarkovsky Quartet, avec François Couturier (p), Anja Lechner (cello), Jean-Marc Larcher (ss) et Jean-Louis Matinier (accordéon). 


Philippe Méziat

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Paul Lay (prononcez l’ail, et non pas lait, contrairement à son quasi homonyme également Paul Bley, pas sans rapport d’ailleurs), nous l’avons découvert à Tulle cet hiver, à l’occasion du festival « Du Bleu en hiver », où il accompagnait Géraldine Laurent. Excellemment, comme nous l’avons écrit sur ce même site.


Son trio (avec Simon Tailleu, contrebasse et Elie Duris, batterie) est une jeune formation aux arêtes déjà solides, et à l’avenir prometteur. Basé sur des compositions personnelles, le répertoire fait place aussi à des standards comme Thelonious (de Monk évidemment), interprété avec une belle vigueur, ou Someone To Watch Over Me que Paul Lay joue seul en respectant la lettre et l’esprit de ce beau thème rêveur. Privilégiant une approche physique de l’instrument, peu enclin à des confidences mélancoliques, doté cependant d’un toucher aux couleurs variées, Paul Lay évoque tour à tour un certain McCoy Tyner, mais aussi dans des pièces plus carrément proches du « stride » des pianistes comme Jaki Byard, sans que d’autres grands modèles soient absents évidemment. Venu en nombre – sans atteindre bien sûr les niveaux exceptionnels de la veille – le public a fait bel accueil à la musique du trio, où Simon Tailleu et Elie Duris jouent leur partie avec précision et un joli sens des nuances. Ce soir le Tarkovsky Quartet, avec François Couturier (p), Anja Lechner (cello), Jean-Marc Larcher (ss) et Jean-Louis Matinier (accordéon). 


Philippe Méziat

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Paul Lay (prononcez l’ail, et non pas lait, contrairement à son quasi homonyme également Paul Bley, pas sans rapport d’ailleurs), nous l’avons découvert à Tulle cet hiver, à l’occasion du festival « Du Bleu en hiver », où il accompagnait Géraldine Laurent. Excellemment, comme nous l’avons écrit sur ce même site.


Son trio (avec Simon Tailleu, contrebasse et Elie Duris, batterie) est une jeune formation aux arêtes déjà solides, et à l’avenir prometteur. Basé sur des compositions personnelles, le répertoire fait place aussi à des standards comme Thelonious (de Monk évidemment), interprété avec une belle vigueur, ou Someone To Watch Over Me que Paul Lay joue seul en respectant la lettre et l’esprit de ce beau thème rêveur. Privilégiant une approche physique de l’instrument, peu enclin à des confidences mélancoliques, doté cependant d’un toucher aux couleurs variées, Paul Lay évoque tour à tour un certain McCoy Tyner, mais aussi dans des pièces plus carrément proches du « stride » des pianistes comme Jaki Byard, sans que d’autres grands modèles soient absents évidemment. Venu en nombre – sans atteindre bien sûr les niveaux exceptionnels de la veille – le public a fait bel accueil à la musique du trio, où Simon Tailleu et Elie Duris jouent leur partie avec précision et un joli sens des nuances. Ce soir le Tarkovsky Quartet, avec François Couturier (p), Anja Lechner (cello), Jean-Marc Larcher (ss) et Jean-Louis Matinier (accordéon). 


Philippe Méziat