Jazz live
Publié le 7 Nov 2016

Jazzdor, Strasbourg, 3° journée

Les principaux atouts du quartet atypique QÖÖLP sont la richesse des sonorités et l’énergie. Deux instruments à archets — Théo (vl) et Valentin (cello) Ceccaldi —, une guitare — Ronnie Graupe — et une batterie — Christian Lillinger —   , voilà qui n’est pas courant, sans mentionner le fait que le groupe est franco-allemand. Du bruitage aux grandes envolées, ces quatre là nous mènent de surprise en surprise. Là un air faussement indien en pizzicato , ici une ritournelle répétitive à la guitare, là un pianissimo des archets sur un friselis de cymbales, ici une walking bass au violoncelle sur un roulement de toms, là une envolée de violon sur une rythmique violoncelle/batterie, ou encore une sorte de calypso dansant  : il n’y a qu’à se laisser guider dans le paysage sonore que créent sous nos yeux QÖÖLP, qui jouait ici pour la première fois en France.

 

Le Brotherhood Heritage, qui s’est donné pour tâche de faire revivre la musique du Brotherhood of Breath de Chris McGregor, n’aucun mal à convaincre dès les premières notes du piano, suivi par les sections instrumentales : on est là dans une musique de danse joyeuse et festive. Les solos chaleureux sont souvent soutenus par les tutti de l’orchestre qui constitue alors une véritable confrérie du souffle. L’ensemble swingue avec un déhanchement tout sud-africain qui montre bien que cet orchestre a su intégrer l’esprit comme la lettre de celui auquel il rend hommage, et ce jusque dans les ballades. C’est à François Raulin (p) et à Didier Levallet (b) que l’on doit cet hommage qui comprend des compositions de l’un et de l’autre tout à fait dans la lignée du Brotherhood. Une lignée à la française, même si la présente formation intègre l’altiste Chris Biscoe, un des fidèles du groupe de McGregor.

Il est donc tout à fait réjouissant que cet hommage ait pris corps tant la musique de McGregor semble actuelle par sa puissance mélodique et sa force rythmique. Thierry Quénum|Les principaux atouts du quartet atypique QÖÖLP sont la richesse des sonorités et l’énergie. Deux instruments à archets — Théo (vl) et Valentin (cello) Ceccaldi —, une guitare — Ronnie Graupe — et une batterie — Christian Lillinger —   , voilà qui n’est pas courant, sans mentionner le fait que le groupe est franco-allemand. Du bruitage aux grandes envolées, ces quatre là nous mènent de surprise en surprise. Là un air faussement indien en pizzicato , ici une ritournelle répétitive à la guitare, là un pianissimo des archets sur un friselis de cymbales, ici une walking bass au violoncelle sur un roulement de toms, là une envolée de violon sur une rythmique violoncelle/batterie, ou encore une sorte de calypso dansant  : il n’y a qu’à se laisser guider dans le paysage sonore que créent sous nos yeux QÖÖLP, qui jouait ici pour la première fois en France.

 

Le Brotherhood Heritage, qui s’est donné pour tâche de faire revivre la musique du Brotherhood of Breath de Chris McGregor, n’aucun mal à convaincre dès les premières notes du piano, suivi par les sections instrumentales : on est là dans une musique de danse joyeuse et festive. Les solos chaleureux sont souvent soutenus par les tutti de l’orchestre qui constitue alors une véritable confrérie du souffle. L’ensemble swingue avec un déhanchement tout sud-africain qui montre bien que cet orchestre a su intégrer l’esprit comme la lettre de celui auquel il rend hommage, et ce jusque dans les ballades. C’est à François Raulin (p) et à Didier Levallet (b) que l’on doit cet hommage qui comprend des compositions de l’un et de l’autre tout à fait dans la lignée du Brotherhood. Une lignée à la française, même si la présente formation intègre l’altiste Chris Biscoe, un des fidèles du groupe de McGregor.

Il est donc tout à fait réjouissant que cet hommage ait pris corps tant la musique de McGregor semble actuelle par sa puissance mélodique et sa force rythmique. Thierry Quénum|Les principaux atouts du quartet atypique QÖÖLP sont la richesse des sonorités et l’énergie. Deux instruments à archets — Théo (vl) et Valentin (cello) Ceccaldi —, une guitare — Ronnie Graupe — et une batterie — Christian Lillinger —   , voilà qui n’est pas courant, sans mentionner le fait que le groupe est franco-allemand. Du bruitage aux grandes envolées, ces quatre là nous mènent de surprise en surprise. Là un air faussement indien en pizzicato , ici une ritournelle répétitive à la guitare, là un pianissimo des archets sur un friselis de cymbales, ici une walking bass au violoncelle sur un roulement de toms, là une envolée de violon sur une rythmique violoncelle/batterie, ou encore une sorte de calypso dansant  : il n’y a qu’à se laisser guider dans le paysage sonore que créent sous nos yeux QÖÖLP, qui jouait ici pour la première fois en France.

 

Le Brotherhood Heritage, qui s’est donné pour tâche de faire revivre la musique du Brotherhood of Breath de Chris McGregor, n’aucun mal à convaincre dès les premières notes du piano, suivi par les sections instrumentales : on est là dans une musique de danse joyeuse et festive. Les solos chaleureux sont souvent soutenus par les tutti de l’orchestre qui constitue alors une véritable confrérie du souffle. L’ensemble swingue avec un déhanchement tout sud-africain qui montre bien que cet orchestre a su intégrer l’esprit comme la lettre de celui auquel il rend hommage, et ce jusque dans les ballades. C’est à François Raulin (p) et à Didier Levallet (b) que l’on doit cet hommage qui comprend des compositions de l’un et de l’autre tout à fait dans la lignée du Brotherhood. Une lignée à la française, même si la présente formation intègre l’altiste Chris Biscoe, un des fidèles du groupe de McGregor.

Il est donc tout à fait réjouissant que cet hommage ait pris corps tant la musique de McGregor semble actuelle par sa puissance mélodique et sa force rythmique. Thierry Quénum|Les principaux atouts du quartet atypique QÖÖLP sont la richesse des sonorités et l’énergie. Deux instruments à archets — Théo (vl) et Valentin (cello) Ceccaldi —, une guitare — Ronnie Graupe — et une batterie — Christian Lillinger —   , voilà qui n’est pas courant, sans mentionner le fait que le groupe est franco-allemand. Du bruitage aux grandes envolées, ces quatre là nous mènent de surprise en surprise. Là un air faussement indien en pizzicato , ici une ritournelle répétitive à la guitare, là un pianissimo des archets sur un friselis de cymbales, ici une walking bass au violoncelle sur un roulement de toms, là une envolée de violon sur une rythmique violoncelle/batterie, ou encore une sorte de calypso dansant  : il n’y a qu’à se laisser guider dans le paysage sonore que créent sous nos yeux QÖÖLP, qui jouait ici pour la première fois en France.

 

Le Brotherhood Heritage, qui s’est donné pour tâche de faire revivre la musique du Brotherhood of Breath de Chris McGregor, n’aucun mal à convaincre dès les premières notes du piano, suivi par les sections instrumentales : on est là dans une musique de danse joyeuse et festive. Les solos chaleureux sont souvent soutenus par les tutti de l’orchestre qui constitue alors une véritable confrérie du souffle. L’ensemble swingue avec un déhanchement tout sud-africain qui montre bien que cet orchestre a su intégrer l’esprit comme la lettre de celui auquel il rend hommage, et ce jusque dans les ballades. C’est à François Raulin (p) et à Didier Levallet (b) que l’on doit cet hommage qui comprend des compositions de l’un et de l’autre tout à fait dans la lignée du Brotherhood. Une lignée à la française, même si la présente formation intègre l’altiste Chris Biscoe, un des fidèles du groupe de McGregor.

Il est donc tout à fait réjouissant que cet hommage ait pris corps tant la musique de McGregor semble actuelle par sa puissance mélodique et sa force rythmique. Thierry Quénum